Ne vous fiez pas aux apparences... Tout est Sinistre!
Harmony Lussent
Oo Bébé mutant oO
☆ DOSSIERS X : 33 ☆ LOKI CHARMS : 40356
_______________________________________________ Mar 06 Aoû 2013, 22:53
Je n’entendais absolument rien… Aucuns bruits, aucuns sons ne parvenaient à mes oreilles. Où étais-je ? Je n’en savais rien, je ne voyais rien. Peut-être parce que j’avais les paupières fermées ? Les ouvrir serait peut-être une solution pour savoir ou je suis. Si ca se trouve, je suis dans mon lit, confortablement installée ? J’ouvris donc les paupières… Malheureusement, ce n’était pas ce que j’espérais, je n’étais pas dans mes coussins. D’après ce que je voyais la pièce était neutre : Les murs étaient blancs, le peu de meubles étaient blancs et j’étais même sûre que les poussières étaient blanches elles aussi !
Je changeais de position et me retrouva donc assise. Aoutch ! Une douleur insupportable, un mal de crâne m’agressa de plein fouet une fois redressée. Je mis ma main sur mon front par reflexe… Même si cela ne changeait rien à la douleur. Malgré le mal, je tentais d’analyser mon environnement, pour en savoir plus mise à part le fait qu’il était BLANC ! Il y a avait d’autres filles dans la pièce, mais toutes étaient silencieuse, peut-être même en endormies. J’espérais qu’elles savaient comment on était arrivées ici … Peut-être que finalement, j’ai un peu abusé de l’alcool à ma dernière soirée, que j’étais dans un sale état, que ces filles étaient dans le même état que moi et qu’on nous a gentiment hébergées le temps de se remettre de nos émotions ? Si c’était le cas, pourquoi il y aurait une camera dans le coin gauche de la pièce ? Et surtout pourquoi, dans un bout de mur qui ressemblait à une porte, il n’y avait pas de poignet ? Tout cela ne semblait pas clair…
Soudainement, je fus prise de panique !! Et si … Et si … ? Oh mon dieu !! Et si j’étais décoiffée ?!! Je m’empressais de créer un carrer de glace pour tenter de m’en servir comme miroir, je tentais de regarder pour voir si je n’avais pas une tête d’Alien, je remettais mes cheveux blonds en place.
Ouf! Exclamais je à haute voix en mettant une main sur mon cœur, j’étais encore potentiellement présentable… Même si quelques retouches de maquillages n’auraient pas été du luxe.
Dementia R. Morrisson
En pleine mutation *-*
☆ DOSSIERS X : 23 ☆ LOKI CHARMS : 39211 ☞ DOUBLE COMPTE : Noope.
_______________________________________________ Mar 06 Aoû 2013, 23:19
Une salle. Une petite salle aux meubles blancs mais sales. Une salle plonger dans le noir, remplit de filles. Six filles exactement. Six filles qui ne se connaissaient pas et qui était éclairée par une vieille ampoule suspendue au plafond bizarrement bas. Six filles à moitié endormies, droguées..Six filles dont moi,Dementia.
J'étais réveillée, un mal de crâne horrible et une bosse à l'arrière de la tête. Je m'étais réveillée avant toutes les autres filles, et cela faisait presqu'une demi-heure que j'attendais assise sur ce qui semblait être une chaise dans un coin de la pièce moins éclairé que les autres coins de cette foutue salle. Bien sûr je ne savait pas l'heure qu'il était,ni même où j'étais et avec qui, mais je ne m’affolais pas, absolument pas. A vrai dire, je m'en fichait d'être enfermée,prise au piège entre ses quatre mur, ça m'étais égale..Car selon le professeur Xavier j'avais déjà vécu ce genre de chose mais en pire.
Les pieds au sol, les coudes posés sur le bord de mes genoux et mon front collé à la paume de mes mains : je réfléchissait, essayant de me rappeler de mes moindre faits et gestes avant l'apparition de cette foutue bosse et de mon enlèvement. Impossible de faire revenir ma mémoire, j'abandonna en jurant.
<< Putain, pourquoi ça veut pas revenir ! >>
Oups, j'avais parlé trop fort : j'entendis un grognement et une jeune fille bougea lorsque je releva la tête vers elle. Elle étais blonde, je la fixait puis me leva,touchant le plafond avec ma tête. Je soupira la voyant se recoiffer. Non mais franchement on est enfermée comme des bêtes et la seule chose à quoi elle pense c'est à son physique.. pensais-je, m'allongeant ensuite sur le lit qui m'étais attribué. Je fixait le plafond et l'ampoule qui pendouillait, tout en jouant avec mes griffes qui sortaient de mes phalanges. Trop bruyante,je réveilla une deuxième fille : une brune cette fois,qui me lança un regard noir. Je haussa les épaules continuant mon bordel.
Invité
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_______________________________________________ Mer 07 Aoû 2013, 06:19
Des souvenirs sous forme de flash, voilà ce qui vagabonde dans mon esprit avant que je ne reprenne connaissance. La douleur dans ma tête n’étais pas si atroce comparé à d’autres parties de mon corps qui m’envoyaient des ondes de douleur atroce. J’étais sur que j’avais des bleus et sans doute bien plus. Un combat qui à mal tourné ? C’est une première, je n’ai jusque là jamais perdu le moindre combat. Les sensations me reviennent. Je ramène mes mains de part et d’autre de ma tête, et me retourne sur le dos, un rictus de douleur aux lèvres. Pourquoi je n’ai pas ouvert les yeux avant ? Sans doute que sans en avoir conscience, je savais déjà ce que j’allais affronter de nouveau. J’avais cette sensation familière qui m’avait quittée depuis bien longtemps déjà, celle d’avoir pris de la drogue. Pour une ancienne comme moi, qui avait été kidnappée par un malade mental et droguée de force, la pilule avait du mal à passer. Il y avait peu de doute là dessus, j’avais de nouveau été victime de kidnapping. Ca, ou alors j’ai été violée. Je plie les jambes et me tourne sur le côté. Est-ce que Carter m’a retrouvé ? Est-ce qu’il à l’intention de finir ce qu’il à commencé avec moi ? De me détruire complètement ? C’est stupide, reprend-toi merde ! J’ouvre les yeux et porte mon regard sur la pièce dans laquelle je me trouve. Je suis dans une salle blanche, avec des meubles blanc un plafond bas (j’ai l’impression d’être un géant) et d’autres filles sont avec moi. Certaines sont sur le sol, d'autre dans un lit, les paupières close, endormie. D’autres sont réveillées à ce que je vois. Génial, j’ai encore gagné le gros lot. Après vie dans la rue et enlèvement avec séquestration, j’ai tourné la roue « pas de bol » et j’ai eu… Enlèvement avec des inconnues. On va avoir droit à des sélections pour ces hommes qui aime la polygamie dans leur couple aussi ? Où qui veulent monter un harem ? Combien y avait il de chance, qu’une bande de pervers nous demande de faire des trucs pas très catholique ? J’inclus le meurtre dans mon idée, il parait que les massacres, ça en excite certains autant que les combat dans la boue… on voit le niveau. Ah tiens, qu’est ce que je disais ? Une caméra, comme c’est original…J e me relève doucement. Première réaction : examiner la pièce avec plus d’attention cette fois. Si ma mère était encore en vie, elle me dirait d’examiner toutes les possibilités pour sortir d’ici. Porte (d’ailleurs une porte sans poigné = à défoncer), bouche d’aération (y en a pas), une fenêtre (y en a pas non plus), un passage secret (ça m’étonnerais) etc. Tout et n’importe quoi. Sauf, que je ne vois rien. Seul moyen de sortie, la porte. Je m’approche de celle-ci et donne de petit coup dedans, du métal. Allez, avec un peu de chance, nous pourrions sans doute nous en sortir, non ? Et puis, mes connaissances d’ombre pourraient m’être utile pour une fois, enfin… celle que j’ai. Qu’est-ce que j’aimerais que ma mère soit encore en vie maintenant…
***
Révélation numéro 1 : dans la pièce, il y à des mutantes, probablement que ça d’ailleurs L’une des filles à même des griffes en métal qui lui sorte des phalanges, c’est bien la première fois que je vois un truc pareil. En même temps, je n’ai pas vraiment l’habitude de côtoyer volontairement des mutants, sauf Kyle. Mais lui, c’est l’exception qui confirme la règle. Révélation numéro 2 : J’ai reconnu une vieille connaissance dans le tas. Il ne m’a pas fallut longtemps pour la voir, il suffisait de chercher une glace, ou dans le cas présent de la glace ayant la forme d’un miroir, c’est d’un superficiel ! Pas besoin de voir son visage, la démonstration suffit. J’ai même levé les yeux au ciel, exaspérée quand j’ai vu ça, pourquoi ça tombe toujours sur moi ? Révélation numéro 3 : JE VEUX SORTIR D’ICI ! C’est ça, ou je vais faire un carnage. J’ai l’impression d’être en enfer et même l’idée d’un suicide pour abréger mes souffrances m’a traversé l’esprit. Mais attend !? Pourquoi je devrais me suicider pour les autres ? D’accord, un meurtre alors, c’est mieux que le suicide. D’accord… on commence quand ? « Vous êtes toutes des mutantes, hein ? » Demande une rousse la voix tremblante, pleine de larme. Je lève les yeux au ciel et pousse un soupire de l’assitude. Qu’est-ce qui te fais dire ça ? L’absence de crie ou les filles qui essaye d’utiliser leur pouvoir pour sortir d’ici ? D’ailleurs, la maîtrise de leur pouvoir semble pour certaine être laborieuse. Un effet de la drogue (une drogue peut vraiment faire ça ?) ? Un manque de pratique ? Un pouvoir indépendant qui à décidé de bousiller la totalité de leur vie après de longue année de torture ? J’avoue, celle-là est pour moi. Un pouvoir, un alter-ego surpuissant et complètement cinglé qui semble n’exister que dans le monde miroir etc. A cause de cette cinglée, j’ai passé 40 ans enfermée dans le monde miroir pour survivre à mon retour dans le monde réel. 40 ans à me faire aborder, à traiter les cons de cons, à donner de bonne leçon par ci par la, à faire gronder le tonnerre lorsque j’étais en colère et tant d’autre chose encore… Ca aurait pu être pire. Heureusement que j’ai accéléré le temps dans le monde miroir. 10 ans là-bas, 1 jour ici. En gros, je suis partie 4 jours entier et à mon retour, Kyle m’a incendié. « Qu’est-ce qu’on fait là ? » Demande une autre fille brune, à l’allure de top model et à la voix tremblante. Un scrabble ! Je garde le silence, mais je suis déjà exaspérée par la situation. Quitte à m’enfermer, il aurait pu me remettre en cage, seule, comme Carter l’a fait par le passé. Je préfère ça à une cohabitation forcée… « J’ai pas le moindre souvenir de ce qui c’est passé, et vous ? » Une blonde cette fois. Elle semble apeurée mais plus calme que les autres. « Non, je me souviens de rien. Vous pensez qu’on à toutes étaient droguées ? » Elémentaire mon cher Watson ! Question suivante ? « On fait comment pour sortir de là ? » Allelujah ! Enfin une question intéressante ! Réactions ?
Dementia R. Morrisson
En pleine mutation *-*
☆ DOSSIERS X : 23 ☆ LOKI CHARMS : 39211 ☞ DOUBLE COMPTE : Noope.
_______________________________________________ Mer 07 Aoû 2013, 08:47
On avais toutes été droguée à ce que je vois, mais apparemment j'étais la seule à avoir pris un coup derrière la tête, sans doute, parce que j'avais été la plus fort et que les drogues n'agissaient pas aussi bien qu'ils le pensaient sur moins. Je me sentais tout de même affaiblie, je sentait mon coeur battre la chamade dans ma poitrine. Apeurée ? Non,du tout, juste claustrophobe.J'essayais de me contenir mais si ça continuait je risquerais de faire un massacre. A cette idée mal-faisante, je rangea mes griffes dans un bruit métallique qui attira l'attention des jeunes femmes qui étaient enfermées avec moi. Au moins j'avais de la compagnie..Je me mit assise sur le lit,regardant le visage apeuré des filles. L'une d'elles la rousse me fixa commençant à sangloter :
« Vous êtes toutes des mutantes, hein ? »
Je crispa les dents, pourquoi fallait-il qu'on m'est collé avec une humaine ? POURQUOI ? Si en plus elle continue ses remarques à deux balles je vais vraiment faire un massacre..Merde on est pas des monstres. Enfin, j'en étais des monstre, on m'avais fait devenir quelque chose sans humanité d'après le professeur Xavier, et d'après Scott. J'aurais dut mourir ce soir-là, quand Cyclope m'a retrouvé dans le coma. Je ne sais toujours pas pourquoi mais j'ai la vague impression que les gens qui m'avaient enfermée durant des années, étaient les mêmes que ceux qui nous avaient enlevé aujourd'hui. Cette fois-ci, je partirai, et je les tuerai tous !
« On fait comment pour sortir de là ? »
Bonne question mademoiselle. Je scruta les lieux de mon regard sinistre,une nouvelle fois : des murs blancs normaux sans artifices et même pas en béton armés, une caméra dans un coin et certainement un homme derrière entrain de nous mater et de jubiler d'envie, et puis une porte en métal d'après le son qu'une brune a provoqué en tapant dedans. J'esquissa un sourire vite suivie d'un rire plein d'ironique. Non mais ils se foutent de ma gueule ? Ils ont vraiment cru que si ils nous droguaient on ne pourrait pas démolir cette foutue pièce ? Pathétique vraiment pathétique. Je soupira puis me leva sous les regards bébêtes des femmes assises au sol. je m'approcha de la caméra en souriant en coin. Je savais que l'homme ou les hommes étaient derrière l'ordinateur, ils nous regardaient des idées perverses pleins la tête.
« Par quoi on commence ? »
Je sot mes griffes,me sourire s'élargit doucement, je me tourne vers les filles et les regarde une à une. Elles sont toutes apeuré sauf peut être la brune au fond. Elles fixent mes griffes et je leur dit :
« On commence par ça ! »
J'éleva ma main en l'air et l’abattit sur la caméra, la coupant en deux. J'arracha en suite les fils qui dépassait puis tranquillement je vint me rasseoir sur mon lit. Voilà une bonne chose de faite.
Harmony Lussent
Oo Bébé mutant oO
☆ DOSSIERS X : 33 ☆ LOKI CHARMS : 40356
_______________________________________________ Mer 07 Aoû 2013, 22:37
J'applaudis vivement la mutante qui venait de terrasser la camera.
« Bravo ! Bravo ! Et tu comptes faire comment pour le potentiel micro dissimulé dans les murs ? »
Elle se pensait plus intéressante que moi ? Pff ! Mon ton de voix était très clairement moqueur et il était évident que je me foutais de sa tête. Je n'aimais pas ce genre de personne, celles qui pensent être plus importante que moi, qui essaye de me voler la vedette ! Grrr ! Je pourrais les écorchées sur place. Je lâchais un soupire d'ennuis.
« Bon ce n'est pas tout ça, mais moi je n'ai pas envie de finir de casse-croute à de vieux pervers en manque. On est des mutantes pas vrai ? On devrait pouvoir briser cette porte ! »
Je les regardais toutes unes à unes. Je n'avais pas remarqué que je connaissais l'une d'entre elle, une brunette que j'avais rencontrée, je ne sais même plus où d'ailleurs... Tout ce que je sais, c'est que rien le fait qu'elle soit à moins de 10 mètres de moi, m'énervait ! Son air m'énervait, ses gestes m'énervaient, sa voix m'énervaient, absolument tout ce qui venait d'elle m'énervait ! Il fallait que je sorte d'ici et vite !
Je me levais et allais vers la porte de métal et frappait dessus comme si je frappais à la porte d'un ami.
« Allô il y 'a quelqu'un ?!! »
« Ta Gueule ! »
« Humpf vraiment pas poli' » Dit je en marmonnant.
Je frappais une seconde fois mais en amplifiant les coups
« Espèce de - Mot pas très joli - !! »
On entendit un loquet s'enclencher et s'ouvrir pour ensuite laisser ouvrir la porte. Je mis ma main devant moi et l'homme tombait à la renverse. Je lui envoyais un pic de glace en en même temps qu’une forte bourrasque d’air. Le petit pic de glace de quelques centimètres fut donc propulsé en tournant à très grande vitesse pour finir par se loger dans le cœur de l’homme qui avait eu la stupidité d’ouvrir la porte.
« Mes amies, la porte est ouverte »
Invité
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_______________________________________________ Jeu 08 Aoû 2013, 08:54
Une question intelligente, une seule. Les réponses sont variées. C’est évident que ces femmes, n’ont pas l’habitude de vivre se genre de mésaventure. C’est sur, ça va mettre un sacré coup dans leur petite vie bien tranquille. Mutante, j’étais certaine qu’elles l’étaient, toutes. La vie tranquille pour nous, c’est compliqué. On à pas le droit de faire d’erreur et encore moins d’exister d’après certains allumés. J’ai entendu beaucoup de chose sur nous : faudrait tous les tuer, ils vont nous détruire, qu’on les envoient faire la guerre à notre place, mieux vaut eux que nous… et tout un tas de connerie que je ne n’aborderais pas ici. Bon, c’est normal, je peux comprendre que se réveiller dans un endroit hostile peut un tantinet affoler ceux qui n’ont pas déjà vécu la chose. Comme je n’ai pas vraiment envie que la chose se reproduise non plus, je devrais normalement prier pour ne pas revivre ce que j’ai déjà vécu, sauf que… Ca n’arrivera pas. Les pleurnicheries n’aide pas à sortir d’un endroit clos, le calme et la réflexion, si. Assise sur un meuble, mes jambes balancent lentement dans le vide et produise un petit « boum » à chaque fois qu’ils entres en contacte avec le bois qui constitue le meuble. Le visage impassible, les yeux rivés sur la caméra, je me mets après quelques instants à dire quelque chose sans qu’aucun son ne franchisse mes lèvres. Je n’ai aucune preuve que le message est bien passé, mais je suis sur qu’ils ont compris. Les ombres sont des assassins de naissance, nous nous transmettons divers connaissance et enseignement sur l’art de tuer (entre autre) de génération en génération depuis des siècles. Ma mère n’a pas vraiment eu le temps de m’apprendre ce qu’elle savait, mais j’ai un très bon professeur. Je sais me battre, je sais utiliser un lot d’arme à feu et d’arme blanche assez vaste, je suis une excellente tireuse car je prends mon temps et rate très rarement mon coup voir jamais, je sais disparaître (j’ai fais ça toute ma vie aussi, pas étonnant), je peux aussi repérer le danger (mais la, ça pêche quand même un peu parfois) et plus encore, je peux traquer ma proie, surtout dans la forêt. Fichu Kyle et ses cours sadique, je me souviens plus du nombre de fois ou il m’a laissé des les bois pour que je le retrouve et le surprenne en plus de ça ! Au bout d’un nombre incalculable d’échec, j’ai réussi à me fondre dans le décors, à user de discrétion, à devenir invisible quoi ! Ce jour la, j’ai même réussi à le retrouver ! Sauf que je l’ai pas surpris, c’est lui qui m’a surprise… c’est pas terminé, je lui dois une revanche à ce gros malin. « Par quoi on commence ? » Le plus logique serait sans doute de sortir, non ? Mais j’ai quand même des doutes sur la simplicité de la chose. Imaginons que nous avons été kidnappée pour des clients particuliers, je suppose donc qu’on représente toutes une certaine somme. Combien quelqu’un serait il prêt à mettre pour nous garder en vie et surtout ici ? Sans doute pas mal. Sachant aussi que nous sommes des mutantes et que c’est probablement pour ça que nous sommes toutes ici, je suppose qu’il y à des défenses à nôtre hauteur. J’ai bien peur que… Puis mon regard se fixe sur quelque chose, quelque chose de petit, de familier qui me fait supposer quelque chose de bien sombre. Cette histoire promet d’être intéressante, vraiment. Tendis que je sors de ma réflexion, je remarque que la mutante aux griffes de métal (qui semble plutôt sauvage) s’approche de la caméra et la découpe en deux, avec ses griffes. Plutôt intéressant comme pouvoir ça ! Par contre, ça doit faire un mal de chien quand ça sort ! « Au moins, ils ne pourrons plus nous voir » Dit la rousse avec une pointe de soulagement. « Oué. Mais ça change rien, on est toujours enfermées ici » Balance la brune plus calme. « Bravo ! Bravo ! Et tu comptes faire comment pour le potentiel micro dissimulé dans les murs ? » Tiens, son silence n’a pas duré longtemps. C’est vrai, je trouve que cette fille et tout simplement insupportable mais pour une fois, nous étions d’accord sur quelques chose. On était pas à l’abri des micros dans les murs surtout, que la caméra est un vieux modèle si mes souvenirs son exactes. Un modèle qui diffuse que l’image, pas le son. Sauf que nôtre moment d’accord s’arrête là. Aussitôt la voilà qui se lance dans un blabla pas totalement dénué de sens mais plutôt inconscient. Réfléchie un peu ma grande, tu crois qu’on est la pour quoi ? Et la, elle fait ce à quoi je m’attendais, elle joue les intéressantes. Elle se lève, s’approche de la porte en métal et tape à la porte tout en demandant : « Allo il y’à quelqu’un ?!! » Toujours assise sur le meuble, j’esquisse un rictus amusé. Un test improvisé reste toujours un test et j’ai hâte d’en connaître le résultat… « Ta gueule ! » Pas démontée un seule instant, voilà que la jeune femme frappe de nouveau à la porte, plus fort encore. Pendant ce temps, je cherche le couteau que je cache toujours dans ma botte alors que tous les regards sont rivés sur la blonde et son numéro. Damned, j’en étais sur, j’ai été fouillée ! Les salauds, j’ai horreur d’être… Et la je réalise. Avant de partir, Kyle m’a donné ses bracelets en me disant qu’ils pourraient me sauver la peau. Ca marche comment ce truc ? Merde, pourquoi je ne l’ai pas écouté ! Je commence l’examen d’un de mes bracelets. Il ne semble pas vraiment étrange, il est en métal (argent sûrement) et à comme un petit embout qui pointe vers le haut à l’intérieur de mon poignet. Je ne vois pas ce qui en fait une arme capable de me sauver la vie. Ah, sauf si j’utilise l’embout pour crever des yeux, ah non, même pas. L’embout et carré et plat. Mais, qu’est-ce que… « Mes amies, la porte est ouverte » Je lève la tête, subitement. J’étais tellement absorbée par l’examen de mes bracelets que j’ai loupé le test. A ce que je vois, la blonde a tué un homme et tient la porte grande ouverte. Sachant qu’il est possible qu’il est une puce capable de contrôler son rythme cardiaque (ce qui serait moyennement étonnant) Et qu’a sa mort, celle-ci c’est sûrement déclanché ce qui implique qu’on va avoir une troupe de mec armé jusqu’aux dents, au cul (et sans doute pas que des humains). Je dis, félicitation ! « Super, enfin libre » Dit la blonde dans un soupire de soulagement « Tu viens ? » C’est apparemment la brune qui me parle. Nerveuse de par ses gestes, elle aborde pourtant un visage presque tranquille et me fixe du regard. – Non, je crois que je vais rester ici un petit moment… J’ignore s’ils connaissent mon pouvoir, mais il y a plus de chance qu’ils envoient la troupe pour un petit groupe rassemblé plutôt que pour une seule personne. C’est un choix stratégique. Perdre une fille, sa passe mais tout un groupe… la c’est mauvais pour les affaires. Quoi que… selon moi, ils préféreront nous tuer plutôt que de nous laisser fuir. C’est une réalité, souvent en préfère tuer la marchandise plutôt que de la laisser fuir…
***
Un véritable labyrinthe, j’ai l’impression d’être dans un laboratoire secret. Les murs sont tous blanc, le plafond haut, les portes sont blanches aussi et toutes en métal. Les caméra son nombreuse, presque autant que les portes. Toute fermées électroniquement et sans la moindre indication. Tout à l’heure, j’ai trouvé dans la poche du garde qui devait me surveiller, un pass que j’ai bien l’intention d’utiliser. Je sais que le tuer aurait été une erreur, alors je l’ai menotte avec son machin spécial. Les salauds, ils ont des menottes capables de bloquer les pouvoirs mutants ! Heureusement que je ne suis pas dépendant de mes pouvoirs pour survivre… Première destination, l’armurerie. La ou il y à du pognon et des troupes, il y à toujours de l’armurerie. Ensuite, je découvre pourquoi nous sommes la et après… ais-je vraiment besoin de dire ce que je vais faire après ?
Je rase les murs et évite les caméras pour ne pas me faire repérer, j’avance dans la discrétion la plus total. Tout à l’heure, j’ai trouvé une grande carte en marchant, indiquant que l’armurerie était dans le coin. J’ai levé les yeux aux ciels, exaspérée. J’imagine qu’il faut être complètement con ou exaspéré pour laisser une carte à la vue de tous. Con, exaspéré, con, exaspéré … exaspéré sans doute. Les gars doivent se perdre souvent, ça ne peut être que ça ! Sinon, j’arrive pas à croire que je me suis fais attraper par une putain de bande de guignol. Après la longue marche que j’ai faite et la carte que j’ai trouvé, j’imagine que l’armurerie ce trouve derrière cette porte. Je passe la carte dans l’appareil placé à côté de la porte et une petite lumière verte s’allume pour m’autoriser l’accès à la pièce. J’ouvre la pièce et aussitôt, un large sourire illumine mon visage. – Qui a dit que les armes ne pouvaient pas faire le bonheur ?
HJ: On se divise en deux ou trois groupes. Pour continuer l'histoire, je propose que le groupe (le groupe avec à sa tête Harmony ) se fasse attaquer par des mutants, beaucoup de mutant dont un immortel. L'une de vous deux peut me suivre ou partir de son côté (j'ai d'ailleurs pensé à Dementia qui semble plus solitaire). Le groupe se retrouve ensuite emmené dans une nouvelle pièce et attaché avec les menottes abordées dans ma réponse. On leur aura aussi attribué une garde considérable dont deux gros balèzes pour éviter qu’elle ne s’échappe. Après, à vous de voir la suite. A oui, ont à toutes des puces de localisation dans le poignet, celle qui se sépare du groupe doit s'en rendre compte et l'enlever. Les autres, mieux vaut la garder pour rendre l'histoire plus intéressante et plus longue aussi = D
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