Quand la liberté d'autrui devient sujet de baston

J'avais enfin décidé de m'assumer comme mutant, j'avais toujours fait tout pour ne pas m'afficher. J'avais toujours eu peur, peur de me faire envoyer sur les roses, peur de me faire tabasser et tuer. Peur de tellement de chose qui arrivait aux mutants tous les jours. Que comme un gros couard je me cachais, loin de tout ça

La mort de mon élève mutant m'avais fait un électrochoc, j'avais compris ou étais les limites qu'il pouvais y avoir entre les mutants et les humains. Et surtout j'avais compris que les humains les avaient dépassé. Un recensement ? Nous n'étions pas des juifs, tziganes ou homo (enfin moi j'étais bi !) sous le joug de Hitler non mais ! Nous étions des êtres vivant avec un cœur qui battait, du sang dans les veines et des sentiments. Personne n'avais le droit de nous faire subir tout ça juste parce que nous avions des capacités que l'on avait même pas choisit !

Ce jour-là j'étais un peu morose comme toujours, et sans m'en rendre compte mes pas me portèrent vers un endroit ou l'on administrait le vaccin anti-mutation, encore une belle connerie si vous voulez mon avis. Comme toujours deux camps s'affrontait les pour et les contres, j'étais bien entendu contre. Pourtant aujourd'hui , un pour, et surtout un anti-mutant bien décidé a en découvre avec les mutants. Il attaqua un jeune garçon, a la peau étrangement verte et écailleuse, l'arachant aux bras de sa mère elle, « normal ». Il utilisait l'enfant comme un appel a la haine, ce fut trop pour moi.

Je me précipitais vers l'homme et une fois arrivé devant lui

« vous n'avez pas le droit de faire ça ! »

L'homme se moqua de moi, avant de se reprendre

« Laisse moi faire mec, ces monstres ont besoin d'une leçon ils doivent se plié a nos règles s'ils veulent survivre »

C'en fut trop pour moi je pointais la gorge de l'homme de ma main, et sans le touché, sa tête se décolla de son corps, amplifiant le vide entre les atomes. L'homme hurlait car bien sûr il était en vie, je fit comme au base-ball et je balançais la tête un peu plus loin, bonne chance pour la retrouver et la recollé tien ! J'arrachais l'enfant des bras de l'homme qui étaient crispé sur lui. L'enfant me remercia, et je me mis à courir après l'avoir déposé. Les flics et anti-mutant a mes trousses, pourtant j'entendais des acclamations qui me disaient que j'avais fait le bon choix.

Je parvins a les semés dans une rue et je reprenais ma respiration, je pense que c'était le moment pour moi de me trouver une identité secrète et un costume, car même si on avait pu voir mon visage rapidement, ils ne se souviendront pas spécialement de lui, les mauvais me rendrons laids un peu comme les Nazis avec les stéréotypes des juifs, et les bons eux vont m'édulcoloré. Une fois que j'eus repris ma respiration je me remis en marche, sauf que je repérais un homme, je me retournais vers lui, ma foi il était assez sexy quand même !

« Oui c'est pourquoi ? » fis-je poliment alors que je savais qu'il me suivait

FICHE ET CODES PAR RIVENDELL