Il était rare que je sois dans la cuisine de la confrérie, le déjeuné c’était plus ou moins bien passée, du moins sans embuches, sans disputes, aucune fluctuation d’humeur. Je terminais d’essuyer la vaisselle pour la ranger quand la porte d’entrée s’ouvrit et les flots de paroles de deux mutants confréristes résonnaient dans le hall.

Ces non mutants…Magneto a raison ils sont complètement stupide. Fit une voix féminine en riant. En venir à brûlé une forêt au nord de la ville pour obtenir un faire valoir ! Ajouta la jeune femme.

Le bruit cinglant de la vaisselle qui heurtait le sol résonna à son tour dans les pièces adjacentes, la jeune femme et son compagnon ne virent alors passer qu’une forme qui sortit en trombe de la confrérie.

Qu’est ce qu’elle a ? Demanda la demoiselle.
Tu parles de mec qui brûle une forêt…Elle ne va pas rester les bras croisés ma vieille. Répondis son compagnon en s’appuyant contre le mur.
Non mais attend, la forêt et vers New York et comment tu veux qu’il y arrive aussi…Elle se tue quelques instants, le bruit d’un moteur résonnait quelque peut. Attends…Elle me pique ma bécane ?! Fit la jeune femme en sortant en trombe.

En effet, la distance étant importante entre le lieu et la confrérie autant prendre un moyen de locomotion. Et si elle n’était pas satisfaite je lui dirais avec calme qu’elle n’avait qu’à la ranger correctement et bien entendu elle n’avait qu’à pas laisser la clé dessus. Une forêt qui brûle, je ne pouvais pas rester sans rien faire. Je me devais d’y aller. La route fut plus courte que je ne le pensais, surement grâce à ma moto de la mutante. Je ralentissais et gara l’engin encombrant sur le bas côté. L’odeur de cendre emplissait mes narines, mon nez se fronça quelque peut alors que je pressais le pas vers la destination.

Ce que j’y vis me glaça d’effroi, le feu avait tout dévasté, arbres, plantes et appariement d’autres humains avaient eux aussi combattu les flammes. Non décidément je n’aimais pas le feu, alors que ma gorge se serré, je me mis à courir vers l’endroit quand deux hommes que je n’avais même pas remarqués me barrer la route, faisait obstacle. C’est alors que mon regard vit autre chose que les cendres, des policiers, des hommes, des femmes et des voitures.

Laissez-moi passer ! Ôtez vos sales pattes de là ! Vous ne comprenez pas ! Tentais je en me dégageant de leurs étreintes.
Calmez vous Mademoiselle, vous n’avez pas le droit d’être içi ! Fit l’un d’eux avec un regard sévère.
PAS LE DROIT ? J’ai TOUT les droits ! Criais-je à son encontre en forçant le barrage.

Une voix féminine intima que j’étais avec elle, mon regard se posa sur la jeune femme qui me prit avec elle et m’éloigna des deux hommes. Respirant doucement, je devais me calmer, mais ma tête bourdonnait, ma télépathie me faisait défaut une fois encore, dans ce genre de moment, je devais à tout pris me concentrer. Si je laisse mes émotions réagir à ma place cela risquerait de dégénérée. La jeune femme me questionna, me demandant si je savais, si j’avais vu quelque chose, de l’aide tout simplement. Sans croiser ses yeux, mon regard se posa sur ce qui fut un brin de forêt. Réfléchissant quelques peut, peut être devrait je l’aider…En même temps l’envie de trouver ceux qui ont osé commettre une telle atrocité me démangeais autant qu’une ortie qui vous caresse la jambe. Je consentis à plongé mes yeux nuits dans ceux de la jeune femme, elle avait des yeux étonnants, presque irréels, l’océan serait jaloux d’une telle couleur, ce bleu était…Magnifique.

Je connais bien cet endroit…Dis je dans un souffle, en réfléchissant quelques peut. Tout ce que je peux vous dire c’est que si j’étais un de ces tarés je serais partie au plus profond de la forêt, il y’a une sorte de lagon, l’humidité qui y règne est à la fois une bonne cachette et aussi une bonne protection contre la chaleur des flammes. Et comme la terre est sèche elle ne laisse aucune trace. Continuais je après réflexion, le regard de la jeune femme me fit vite comprendre qu’elle doutait de quelques chose, alors j’ajoutais avec un sourire. Je suis une Amérindienne, ma réserve se trouve trois champs après cette foret au nord, j’ai pris l’habitude d’y venir, je suis ce que vous appelé une écolo. Fis je avec un haussement d’épaules.

J’espérais que ces informations me permettraient de ne pas être réellement soupçonné, bon dans un sens je disais la vérité. J’étais Amérindienne, je connaissais cette foret et…Une douleur atroce m’arracha un crie, je sentis le monde tournait, alors que je tanguais des milliers de voix résonnait dans mon esprit. Non ma télépathie me jouer des tours, les plantes qui brulaient demandé de l’aide, les arbres à moitié calcinés hurlaient de douleur. Cette souffrance, ces cries, Je tanga quelque peut avant de me rattraper sur l’épaule de la jeune femme. Cette fois j’étais fichu, soit elle me prend pour une folle alliée, soit elle va comprendre que je suis pas humaine ou avec un peu de chance elle croira que je suis prise de vertige et de nausée en vue de la scène qui trône sous nos yeux.

Encore une fois mes sentiments avaient tout bonnement pris l’avantage sur mon apparence si calme d’habitude. Devrais-je me blâmer ? Non, non loin de là. Ce sentiment, ce bouleversement que je ressentais étaient tout simplement la preuve irréfutable que j’avais était élevé avec les meilleurs préceptes de ma tribu. Je prouvé encore une fois aux grands esprits qu’ils avaient fait le bon choix en m’accordant les dons liés à la nature.
Etre aussi transparente aux yeux d’une inconnue ça ne me rassure pas des masses, mais tant pis, je devais trouver ceux qui avait osé utiliser le feu pour faire un tel massacre. Rien que de penser aux flammes léchant avidement les arbres et dérobant la vie des plantes, une nausée se coinça dans ma gorge, tandis qu’un frisson d’horreur s’emparait de mon corps pendant que la chair de poule recouvrait toute les pores de ma peau.

La jeune femme me força à la suivre, parlant ainsi de mes intentions et des siennes, elle sembla me croire sur ses origines de sauvageonne, mais elle avait pressentie que je n’étais pas humaine, l’un de mes sourcils se souleva arquant une sorte de surprise face à ses propos. Je ne répondis pas, j’attendais que nous soyons réellement hors de portée. J’aimais entendre la voix des personnes qui s’adressaient à moi. La voix était un des rares moyens auditifs qui trahissait les sentiments autant que le regard. Quand je fus enfin satisfaite de voir qu’elle possédé elle aussi un secret, je me détendis quelque peut en sa compagnie.

Je suis ce que les hommes appellent un mutant. Répondis-je avec une simplicité sans égal.

Et voilà, je suis de retour, dans toute ma splendeur avec cette once de calme et de sagesse qui trône dans mes yeux comme une couronne sur la tête d’un monarque. Penchant quelque peut la tête je consentis à continué sur le chemin de la franchise et de la sincérité, je m’accoudais à sa voiture et posa mon regard sombre dans la mer bleutée de ses yeux.

J’entends, je parle et je contrôle toutes les plantes. J’éprouve de la répugnance envers ceux qui n’ont aucun respect envers la nature, mon engouement pour celle-ci m’a valu un nom qui est semblable à la nature .Mon malaise est du aux cries de douleurs qui résonnent en ces lieux et qui trouble ma télépathie végétale. Je ne vous ai pas menti sur mes origines et sur ma connaissance des lieux. Ai-je répondu à vos critères de sincérité? Demandais-je avec autant de calme que précédemment.

Ce changement d’état en moi était souvent fréquent, j’apprenais constamment à gérer mes sentiments pour que mes dons ne m’échappent pas. Cette petite frayeur remontée constamment en moi. J’avais tellement de monde que je ne devais pas décevoir. Puis penchant la tête sur le côté je regardais la jeune femme et j’eus un petit sourire au coin des lèvres.

Vous non plus…Fis je en la regardant, mon sourire s’étira de plus belles faces à la révélation qui me sautait aux yeux. Vous non plus vous n’êtes pas humaine n’est-ce pas ? Demandais-je avec douceur.

Evidemment, j’aurais du voir venir l’embrouille, j’espérais seulement que ce n’était pas une X-Woman, j’avais eu ma dose d’X-man pour le mois.

J’attendais patiemment, a quoi enfin à qui j’avais à faire. À vrai dire je n’aime pas jugés les gens, mais je dois admettre que si elle ne joint pas à moi je vais devoir écumer la forêt seule hectares par hectares. Elle m’empêchera surement de faire une ignominie et de réduire en miette ceux qui ont fait cela. Alors qu’elle insérait une clé dans la serrure de sa voiture, le coffre s’ouvrit. Jetant un œil sur ces objets j’eus un mouvement de recul. Le shield…Mon regard se posa sur elle puis ce qui était dans son coffre, mais ce fut l’épée qui me fit quelques peut changer d’avis. Un agent du shield avec une épée c’était rare, vraiment rare…Cela m’intrigua au plus haut point, mais tant pis, je devais retrouver ceux qui osé s’en prendre à la forêt.
Évidemment que je peux vous y conduire. Répondis-je en amorçant un mouvement pour me rendre à la nouvelle entrée de la forêt.
Évidemment, mes pieds foulèrent le sol calciné et je ressentit une douleur atroce dans mon esprit, les cris de douleurs des plantes étaient tels que je devais accélérer mes pas pour échappé à leurs cries. Quand je fus enfin dans la forêt elle-même, je posais une main sur un tronc pour reprendre mon souffle ainsi que mes esprits. J’entendis les pas de la jeune femme et je me retournais vers elle.

Je n’aime pas le Shield ! Dis-je avec une franchise déconcertante. Mais, sans votre aide je ne pourrais pas mettre un terme à ces brûleurs de forêt. Alors soit, je vous conduirai au lagon, le seul endroit où ils ont pu se réfugier ! Terminais-je en la regardant dans les yeux.

Je tournais les talons et retira mes chaussures, les laissant près d’un arbre, je sentis le regard de la jeune femme sur moi, comme une sorte de surprise. Mais j’aimais le contact de la nature sous mes pieds et cela me permettait d’être en harmonie avec la forêt et par la même occasion de trouver plus facilement le lagon. J’avançais d’un pas quelque peu tranquille, mon visage s’était apaisé. Ma relation avec la nature était su fusionnel que ma colère ne pouvait que se minimisais en son sein. Avec un sourire plus que charmant, je pris entre mes doigts une fleur qui n’avait pas encore révélé son éclat. Sous l’empressement j’accélérai son office, les pétales s’ouvrirent et révélèrent une fleur dont la couleur rouge était plus que sublime. Je tendis la fleur vers la jeune femme qui avait l’air de perdre patience.

Allons, ne vous inquiétez pas on est presque arrivé, voyez la mousse qui recouvre le sol ? Cela signifie que le taux d’humidité est plus élevé, de ce fait la terre est plus ferme et les traces sont plus visibles si l’on regarde près des troncs. Commentais-je en posant la fleur dans les cheveux sombres de la jeune femme. Le rouge vous sied à merveille. Ajoutais-je d’une voix douce.

Je lui tournais le dos une nouvelle fois et entrepris la marche qui nous dirigeai vers l’endroit que j’avais mentionné sous peu. Reprenant notre marche, un léger bruit d’eau se fit quelque peut entendre, ainsi que des voix plus graves et des rires. Je me stoppai et posa mon regard sur la jeune femme.

Alors que faisons-nous ? Je laisse ma colère prendre le dessus pour les mettre dans l’eau et je vous les laisse ou vous faite votre formidable travail « D’agent du shield policière et non humaine » ? Questionnais je dans un murmure tout juste audible pour la jeune femme qui ne m’avait encore pas dit son nom alors que j’avais déjà sous entendu le mien.

Elle avait vite compris que je n’étais pas une X-woman, après que je fasse partie de la confrérie ne signifie pas que je sois une âme dotée d’une cruauté qui ne cesse d’en demandé toujours plus. Non loin de là. La confrérie me permettait d’user de mes dons sans entrave, de jouer avec mes plantes autant que je le désirais. D’être ce que les hommes appelaient une écolo en puissance et pas un petit chien qui attend les ordres de son maître pour aller chercher quelqu’un. La confrérie était en quelque sorte une sorte de tremplin me permettant ainsi de montrer que la nature peut être aussi belle que redoutable. Mais au moins je pouvais punir ce qui osé s’en prendre à elle.

La jeune femme parla de…bon on n’avait pas vraiment de plan apparemment, on devait leurs faire leurs fêtes. Elle me demanda si je savais me battre…Décidemment c’était définitif ce n’était pas une humaine et pas une mutante non plus…Qui sur cette ne connait pas les amérindiens et leurs capacités ? On parlait de mon peuple comme des sauvages assoiffées de sang, tuant sans vergogne leurs adversaires et méprisant l’homme blanc…Ma mère était issue d’une lignée de guerrier et le prénom de mon père signifiait celui qui protège. On apprenait à combattre au corps à corps et au bâton de combat dès notre plus jeune âge. Mais là n’était pas l’important. Posant mon regard sur la jeune femme un sourire carnassier venait de naitre sur mes lèvres.

Si je sais me battre ? Questionnais-je avec un rictus. On est dans une forêt… Murmurais je tandis que le noir de mes yeux prenait une teinte d’un vert absolue. En d’autre terme on est sur mon territoire. Un sourire quasi cruel englobait mes lèvres tandis qu’un halo vert entourait mon corps.

Je tournais la tête vers le lagon et laissa échappé de mon corps toute ma puissance, près des hommes qui riait grassement, les racines les plus proches se soulevèrent de terre attrapant leurs pieds. Les hommes furent prie de terreur et surtout de paniques, tentèrent de s’échapper.

Même pas dans tes rêves les plus fous… Murmurais je alors que le halo autour de mon corps prenait de l’ampleur.

Tendant les mains en avant paumes vers le sol, je les retournais en crispant les doigts, l’herbe au sol se mit alors à grandir de manière exponentielle, s’enroulant, freinant la fuite des pyromanes. Un sourire tout aussi narquois que le précédent naquit sur mes lèvres, alors que je sortais de ma cachette en compagnie de la jeune femme, nous purent enfin les voir correctement, l’un d’eux était un rouquin dont les cheveux flamboyants étaient cachés par une affreuse casquette bleutée, assortie à un sweat shirt bleu et blanc et un pantalon de sport. Le 2e plus sobre, porté un simple jean dont le bas était calciné, il avait entre les mains un zippo, porté un tee-shirt trop large et ses cheveux couleur miel était coupé court. Je levais le menton et posa mon regard sur un arbre ou un lierre magnifique y avait trouvé refuge. Mon rictus s’agrandit, alors que je forçais mon regard sur l’un des fuyards qui reculai sous la peur. Évidemment il est rare de croiser une brune entourée d’un halo d’un vert aussi brillant. Ma main se tendit vers le lierre rampant qui prit sous leurs yeux, il se déroula de l’arbre et fonça sur l’un des hommes, attrapant la jambe de l’homme, et le souleva pour le suspendre au-dessus du sol alors que son couvre chef tombé mollement au sol. Jouant avec mes doigts comme une pianiste sur son instrument favori, le lierre se dédoubla, attrapant ses bras et le retournant avec facilité, son visage apeuré me fixer.

Pas bougé ! Dis je avec un nouveau sourire cruel aux lèvres, tournant lentement mon regard vers celui avait encore le briquet entre ses doigts, mes yeux encore emplis de vert, le fixaient comme si j’allais jouer avec lui à un jeu lubrique. Puis tournant mon regard vers la jeune femme, je fis une sorte de révérence. Je vous le laisse…C’est le pyromane et si je m’en occupe je ne pense pas être aussi clémente qu’avec son…son « amie » ! Fis-je avec une once de sarcasme dans la voix.

Il valait mieux qu’elle s’en charge, car mes sentiments à l’égard de ce type risqué forts de prendre le dessus et comme la jeune femme désirée que l’on laisse pas de cadavres je préférais donc opté pour cette solution, et puis cela me permettra de voir « ces dons » en action. Mon regard et mon attention était posé sur la jeune femme et je ne regardais plus cet imbécile suspendu par mon lierre.

Laissant la jeune femme s’amusé à son tour avec ces pyromanes de pacotilles, je m’appuyais contre un arbre tandis qu’elle s’avançait avec un air menaçant sur le visage, le jeune homme lui reculais tant bien que mal, alors qu’il aller surement prendre la fuite, je fis un léger geste de la main et une racine s’arrondissa de plus belle, il s’y pris merveilleusement bien les pieds dedans pour atterrir sur le sol encore dur. La policière le pris par le col, parlant d’une voix à la fois mielleuse et froide, elle jeta l’homme qui s’écrasa contre un arbre.
La voix de l’arbre résonna quelque peut dans ma tête, et je tentai de l’apaisé, lui parlant doucement par télépathie, expliquant que cet homme avait mis le feu à l’orée du bois et que certains de ses congénères étaient dans un état de mort de certaine. Comprenant la situation l’arbre m’intima que si j’avais besoin je pourrais l’utilisé pour ma vengeance, j’eu un sourire que ma nouvelle camarade ne pu voir tandis qu’elle s’abattait dans un saut de l’ange parfait sur l’homme. En vue de sa force je su que mes doutes était plus que fondé. J’avais entendu parler de l’arrivée de race extraterrestre sur notre monde, en faisait-elle partie ? C’était fascinant.
Maintenant que nos deux gaillards était maitrisé, la jeune femme revint vers moi et me demanda une petite requête, levant un sourcil interrogateur elle me demanda de la frappé de toute mes forces.

Que je vous frappe ? Demandais je d’une voix quelque peut interloquée. Je fis le tour de la jeune femme d’un pas presque léger avec un sourire au coin des lèvres.

La présence de la jeune femme était pour moi quelque peut insignifiante, pas déplaisante certes, mais j’aurais très bien pu trouver ces deux idiots et mettre un terme à leurs agissements, la présence de la jeune femme aux yeux océans m’a simplement empêché de les tués, évidemment le meurtre est normalement quelque chose d’horrible, mais ces hommes ont commis un meurtre atroces. Pour eux la vie de la flore n’est rien, elle ne signifie rien. Pourtant mon pouvoir pourrait tuer toute les plantes, sans plantes pas d’oxygène et sans oxygène pas de vie…

Même en frappant de toute mes forces, je doute pouvoir vous amoché du moins pas à main nue…Dis je alors que mes yeux reprenaient une coloration verte. Puis de nouveau une couleur plus semblable à celle de la nuit. Une branche à notre droite tomba au sol dans un bruit sourd, sa longueur était parfaite, semblable à un grand bâton, je me baissai quelque peut et la pris entre main. Cela sera suffisant. Dis-je en posant une des extrémités au sol. Bien…J’y vais. Dis-je avec un sourire.

Je poussai un peu la jeune femme et fis tournoyer le bâton entre mes mains, je sentais une once de nostalgie qui prenait le dessus dans mon esprit, le décor changea, j’étais à la réserve, je devais avoir 16 ans tout au plus, de nombreux adolescent était autour de moi, chacun en position de combat, face à eux, un totem de bois enveloppé de cuirasse en fer pour le consolidé et nous permettre de frappé fort, mouvement un…Frappe sur le flanc droit ! Le bâton fendit l’air et s’abattis sur le flanc droit de la jeune femme, mouvement deux tournoi et vise la jambe. Ce que je fis, le 3e s’abattis sur l’un de ses bras et le dernier sur le creux situé entre l’épaule et la nuque. Quand ce fut fait, après avoir utilisé ma force, je penchai la tête sur le côté et décoiffa la jeune femme avec mes mains, puis je déchirai une manche et le bas du tee-shirt. Durant ce laps de temps, le bâton toujours en main je donnais un coup vif et rapide amochant sa lèvre.

Voilà…Je pense que là on pourra dire que vous avez eu un bon combat. Commentais je en me reculant quelque peut. Dite moi…Vous n’êtes pas de ce monde n’est ce pas ? Quel est votre nom ? Questionnais-je doucement en posant le bâton contre le tronc d’un arbre. Je demande après tout…Même si vos policier ne seront sur moi, j’imagine que Fury lui aura droit à un rapport, surtout que quand vous serez partie d’ici vous et vos singes, je prendre de soin de l’endroit qui a brûlé. Commentais-je d’une voix calme et posée. Et cela risque de vous causé préjudice…Fury est loin d’être un idiot, une foret calciné qui reprend vie aussi vite…Vous serez forcé de lui raconté et il comprendra que celle qui a suspendu 7 de ses hommes il y’a 2 ans est toujours en vie. Terminais-je en croisant les bras avec un sourire au coin en repensant à la scène.