Aujourd’hui Ryder avait eu une folle envie de prendre du soleil, ce qui pour lui était normal, car il était un alien au sang chaud. Donc il sortit tranquillement de l’institut et marcha dans la cour de celui-ci. Il regarda quelque jeune jouer à un jeu que les humains appelait ‘’Basketball’’ mais il n’y prêta pas une grande attention et continua sa route pour se rendre à l’endroit qu’il aimait par-dessus tout. Le labyrinthe. Ce coin tranquille où se trouvait dans son centre un gros rocher qui était très souvent éclairer par les rayons chaud du soleil. Alors lors que Ryder arriva enfin à l’entrez du labyrinthe, il entra par l’entrer et traversa le labyrinthe qu’il commençait à connaitre par cœur à force d’y allez tout le temps. Il vit quelque jeune mutant courir dans les longs chemins et parfois dire qu’ils s’étaient perdus, alors comme il connaissait le chemin, il aida quelque jeune qui semblait vraiment perdu et il faut avouer qu’il les comprenait, car le labyrinthe était quand même assez grand. Donc lorsqu’il eut reconduit quelque jeune à la sortit et bien il recommença sa marche dans le labyrinthe et arriva après quelque minutes dans l’endroit qu’il voulait. Le centre du labyrinthe, là où se trouvait sa pierre préféré. Il retira son t-shirt et ne garda que son short. Il retira ses chaussures et ses chaussettes qu’il tira en bas du rocher et grâce au fait de son manque de colonne vertébrale, il se tortilla sur le rocher comme le faisait si bien les Constristor. Le rocher était brulant, mais sur la peau de Ryder, cela ne changeait rien, car il avait toujours vécu dans ce genre d’environnement sur sa planète natale. Car oui, il faisait toujours chaud sur sa planète et voilà pourquoi il possédait des yeux comme les serpents, car le soleil était très fort sur sa planète et aurait pu rendre aveugle un humain. Un autre avantage, étant de sang royale, il avait une faculté plus forte pour ce qui était de résister au soleil de sa planète…..enfin il arrêta de pensé à sa planète d’origine et resta allonger sur le gros rocher brulant.

Vanille ferma le livre qu’elle posa sur ses genoux. Voilà qu’elle lisait Boris Vian pour le cinquième fois, et étrangement elle aimait toujours autant l’auteur et son écriture si particulière. Elle alluma son ordinateur et soupira de lassitude. Elle aurait au moins espéré que ses amis lui enverraient des mails mais l’ingratitude des gens était à la hauteur de leur égoïsme. Le seul mail venait de sa grand-mère. C’était presque ironique. Comme si devenir une mutante était comme dire : je renonce à avoir des amis. Elle regarda par la fenêtre de sa chambre le soleil qui brillait tranquillement dehors. Il ne lui restait plus que ça a faire après tout. Pourquoi ne pas bronzer quelques heures avec de la bonne musique. Elle attrapa son mp3 posé sur la table basse ainsi que le paquet de tagada et enfila un short par-dessus son boxer et sortit de la chambre.
Les kooks résonnèrent dans ses oreilles et elle descendit les escaliers peut-être plus joyeusement qu’elle ne les avait jamais descendu. Elle sortit et sentit la chaleur agréable du soleil brûler ses cuisses. Vanille avait toujours apprécié le soleil, peut-être car c’était une raison d’exposer son corps parfait aux yeux de tous et compenser sa timidité naturelle qu’elle tentait de cacher derrière son allure casi-parfaite. Ou simplement car ce temps lui rappelait l’Italie où elle passait tous ses étés habituellement. La maison au milieu des vignes lui manquait, la piscine et les cocktails de fruits de sa grand-mère qui passait son temps à hurler en italien alors que personne ne comprenait rien. Vanille comprenait car elle avait apprit l’Italien mais le reste de sa famille n’avait jamais jugé ça utile.

Elle s’enfonça dans le labyrinthe cherchant encore un peu sa route comme toujours quand elle était dedans. Oui elle se perdait encore quand elle marchait dans cet endroit. Ça lui paraissait immense, en fait tout l’institut était un labyrinthe pour elle. Elle mit bien une dizaine de minutes avant de se souvenir de la route. D’accord on ne pouvait pas être plus ridicule. Vanille était peut-être la personne la plus maladroite de la terre et elle se demandait encore comment elle avait fait pour être mannequin. Heureusement, elle n’était encore jamais tombée du podium. Elle arriva au centre du labyrinthe et se mis à jurer en italien. Elle ne trouverait jamais cette foutue sortie !

« mio dio! Non troverò mai il cazzo di fuori! »

Elle regarda autour d’elle, bon, il fallait qu’elle trouve la sortie. Elle chercha une issue du regard et aperçut Ryder. Elle était heureuse de le voir. Elle s’avança doucement vers lui en essayant de faire le moins de bruit possible elle lui attrapa les épaule et énnonça joyeusement.

« Salut ! »

La chaleur sur sa peau était vraiment agréable et il ne bougeait toujours pas. Il était seul et il était très bien ainsi. Sa peau était maintenant presque brulante, mais pour lui cela n’avait pas beaucoup d’importance. En dormant, un petit sifflement se fit entendre de la bouche de Ryder, mais pas n’importe qu’elle sifflement, c’était le même sifflement que faisait les serpents. Il continuait de dormir au soleil brulant quand il sentit une main se poser sur son épaule, alors après quelque seconde, il se leva d’un seul bond et déplia ses deux crocs remplit de poison inconnu de la Terre et regarda la personne qui l’avait déranger. Quand il reconnut Vanille, il replia ses canines dans sa bouche et il attrapa rapidement ses chaussettes qu’il enfila et mit ensuite ses chaussures à ses pieds. Il prit son t-shirt et l’enfila à son tour et il regarda attentivement la jeune fille. Ne disant rien durant quelque instant, il regarda dans le ciel et vit que le soleil avait bougé, alors il devait avoir passé environ 2 heures allongé au soleil. Il prit donc la parole. «Salut! Fait attention la prochaine fois, tu as eu de la chance que je m’arrête à temps, car sinon je t’aurais injecté un poison qui ne se trouve pas sur Terre et personne ne t’aurais soignée, car aucun antidote n’existe ici.» Il la regarda quelque instant, puis il se leva du rocher et descendit au sol et regarda encore quelque seconde Vanille. «Tu fais quoi dans ce labyrinthe? Tu sembles avoir perdu ton chemin.» Il ne dit rien durant de nombreuses secondes, puis il attrapa la montre qui se trouvait dans sa poche et il regarda l’heure. «Wow! J’ai dormit longtemps….au moins 2-3 heures au gros soleil.» Il s’étira, il ne s’était jamais sentit aussi bien que maintenant….enfin pas aussi bien que sur Reptilia, mais cela c’était un détail.