Les hommes sont tous des rustres [ANDROMEDA]
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DECEMBRE 2013, ouverture de ONCE UPON A TIME RPG
Par le staff de "X Men Reborn".

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 Les hommes sont tous des rustres [ANDROMEDA]

X-Men Reborn
Ne vous fiez pas aux apparences... Tout est Sinistre!

Alex Matthews

Mystique Falls ❤‿❤


Alex Matthews


☆ DOSSIERS X : 90
☞ CREDIT : C'est moi qui m'occupe de mes kits ♥
☆ LOKI CHARMS : 40421
☞ DOUBLE COMPTE : Pas pour l'instant ^^


Viens Jouer
→ STATUT RP: Disponible
→ SURNOM: Alex ; Le Caméléon
→ POUVOIR(S): Transformation et peut animer ses dessins

Les hommes sont tous des rustres [ANDROMEDA] _

_______________________________________________ Lun 29 Avr 2013, 21:46

Assise sur son banc, Alexandra parcourait les touches de son clavier de téléphone avec agilité. Même si la demoiselle était très high-tech, elle était contre le tactile, et possédait donc un mobile à clapet. Grâce à la 4G, elle surfait sur Internet aussi vite que si elle était sur son ordinateur. Elle recherchait des informations sur un certain homme. Il avait été l’un des chercheurs qui avait aidé à la découverte du vaccin. Depuis que ce dernier faisait planer une menace maléfique sur les mutants, Matthews avait décidé de se charger du cas de chaque personne ayant collaboré au projet. Et ce, même si ça devait lui prendre du temps. Toute la vie s’il le fallait !

Un site s’afficha sur l’écran de la demoiselle, et le mot de passe fut entré automatiquement, sans qu’elle ait à toucher à une seule des touches. Alex était une crac de l’informatique. Pirater n’avait aucun secret pour elle. L’url qu’elle visitait permettait, en entrant le numéro d’un téléphone, de voir sa progression en temps réel. Elle l’avait consulté une heure auparavant, et sa proie se trouvait à quelques pâtés de maison. Maintenant, le petit poing rouge avançait, précisément qu’il se trouvait à un étage du Centre Commercial. Parfait. Un petit sourire diabolique aux lèvres, la jeune mutante se leva de son banc. Bien. La chasse commençait ! Elle prit son petit sac à main. Personne n’aurait pu imaginer que l’adolescente qui déambulait avec insouciance était en fait une dangereuse prédatrice. Et qu’elle était en plein travail. Elle prit un escalator, et jeta un rapide et discret coup d’œil sur son téléphone. Plus que trois étages. Elle se dirigea vers un autre escalier mécanique. Ne pas arriver pile devant l’homme, ne pas se faire voir. Il fallait rester discrète, tapie dans l’ombre. Ou sinon sa filature serait fichue. Parce que croiser plusieurs fois une même fille à différents endroits, ce n’était pas normal. Et le hasard n’était pour rien là dedans. On reconnaissait facilement une chasseuse de tête. Et l’homme avait eu plus d’une fois l’occasion de voir le visage de Miss Matthews. Faut dire qu’elle n’était pas une as de la discrétion. M’enfin…

Plus qu’un étage. La pression était palpable. C’était…Stimulant, pour Alex. Elle sentait l’excitation la gagner. Depuis combien de temps n’avait-elle pas fait le mal ? Beaucoup trop longtemps ! C’est que sa filature prenait un temps fou ! Sa proie était bien trop prudente. Et elle pas assez vigilante. Mais cette fois ci, elle le sentait, c’était la bonne ! Elle sentait presque des ailes lui pousser dans le dos, et l’adrénaline coulait à flot. Dans son sac à main, elle avait des feuilles et un stylo, ses armes de prédilection. Pour n’importe qui, ce n’était là que des accessoires ordinaires, ceux qu’on pouvait trouver dans quelques sacs d’étudiants ou étudiantes. Mais pas pour elle. Elle pouvait donner vie à ses dessins. Aussi lui fallait-il toujours quelques accessoires sous la main. Au cas où elle doive recourir à ses pouvoirs. D’ailleurs…Elle se cacha derrière un pilonne, à l’abri des regards, et ses cheveux actuellement rouges feux devinrent blonds et bouclés. Le caméléon savait que ça ne servait à rien de changer d’apparence. Le chercheur la reconnaitrait sans mal. Mais c’était une sécurité qu’elle prenait en plus. Heureusement, personne ne faisait attention aux gens qui allaient et venaient, et elle put changer d’apparence et revenir sur ses pas sans qu’on lui prête un seul regard. Elle passa une mèche blonde derrière son oreille et sortit à nouveau son téléphone. Sa victime avait à peine bougé. Elle monta quatre à quatre les marches, et se glissa à nouveau derrière un autre pilonne. Elle jeta un rapide coup d’œil. Il était là, dans une boutique. Bien. Ne restait plus qu’à attendre qu’il sorte, et le suivre discrètement jusqu’à la sortie. Et là…COUIC ! Un sourire malsain aux lèvres, Alex emboîta le pas à l’homme en silence lorsqu’il quitta le magasin. Il passa devant un groupe de jeunes, et sa chasseuse s’apprêtait à faire de même, mais les adolescents ne firent pas attention à elle et deux d’entre eux la bousculèrent. Maladroite dans l’âme, Matthews perdit l’équilibre et tomba sur le carrelage froid du centre commercial. Heureusement qu’elle n’avait pas mis de jupe ! Elle se redressa, folle de rage, et l’un d’eux ricana, avant de l’insulter. Que ? La jeune fille se mit à déballer un tas d’injures à l’égard des types, et son homme se retourna. En l’apercevant, il prit la fuite. Non ! Encore raté ! La mutante serra les poings, tremblante de rage. La pointe de ses cheveux vira légèrement au rouge, et elle parvint avec une détermination hors du commun à se calmer suffisamment pour qu’elles redeviennent blondes. Mais au fond, elle était toujours furieuse, et poussa un des garçons. Elle n’aurait peut être pas du. La bande se mit à l’encercler. Les gens, autour, passaient, évitant de regarder la scène. C’est que c’est tellement commun, ce genre d’altercations, à New York, que si on devait intervenir à chaque fois, on n’aurait pas fini. Matthews serra son sac contre elle. S’ils la provoquaient, elle n’hésiterait pas à utiliser ses pouvoirs. Oh oui. Mieux valait ne pas l’énerver, la petite Alexandra. Sa chasse était foutue, ils venaient de ruiner plus d’un mois de filature à néant ! De la poussière ! Voilà ce qui restait du projet vengeur de la jeune fille. Et ça, elle ne le pardonnerait jamais à ces rustres, à ces monstres ! Ils allaient s’en mordre les doigts ! Elle glissait déjà sa main dans son sac…

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Andromeda Greenway

Oo Bébé mutant oO


Andromeda Greenway


Féminin

☆ DOSSIERS X : 35
☞ CREDIT : Moi
☆ LOKI CHARMS : 40296
☞ DOUBLE COMPTE : //


Viens Jouer
→ STATUT RP: Disponible
→ SURNOM: Rommi
→ POUVOIR(S): Faire chier le monde c'est un pouvoir?

Les hommes sont tous des rustres [ANDROMEDA] _

_______________________________________________ Jeu 02 Mai 2013, 18:59

Andromeda venait de finir sa garde. Elle venait de faire soixante douze d'heures d'affiler au sein du service des urgences de l'hôpital universitaire de New York. Autant dire, son second domicile. En effet, la jeune femme était interne et elle se portait souvent volontaire pour remplacer un collègue absent ou tout simplement palier au manque de personnel dans le service. C'était pas une nouveauté et elle avait su à quoi s'en tenir dès le début de ses études, voir même avant. Mais cela ne la dérangeait pas, bien au contraire. Le boulot, il n'y avait que cela qui comptait pour elle. Heureusement cependant que son supérieur veillait au grain et la virait de l'hôpital toutes les soixante douze heures maximum. Mais elle adorait son job et n'en changerait pour rien au monde, même après des journées comme celle qu'elle venait de passer.

En effet, alors qu'elle n'avait plus que deux heures à faire avant d'être renvoyé chez elle à coups de pieds aux fesses, Rommi avait prit en charge une patiente en stade terminale. Cela avait été éprouvant, surtout quand la patiente avait demandé à rentré chez elle pour mourir. La jeune étudiante en médecine n'avait pas le droit de donner son accord s'en en référer à un titulaire. Elle c'était donc adressé au Docteur Patterson en arguant que sa patiente avait le droit de mourir avec dignité. La réponse que lui fit son supérieur résonnait encore dans sa tête alors qu'elle se rendait au centre commercial pour faire quelques courses avant de rentrée chez elle.


« Il n’y a pas de mort digne ! Notre corps nous lâche parfois quand on a 90 ans parfois avant même qu’on vienne au monde mais ça arrive fatalement. Il n’y a jamais de dignité là dedans. Peu importe qu’on puisse marcher, voir ou se torcher les fesses tout seul c’est toujours une horreur, toujours. On peut vivre dans la dignité mais pas mourir. »

Alors qu'elle déambulait dans les allées du centre commercial en ressassant toute cette histoire, elle entendit soudain une voix féminine balancé une flopée d'injures. Pas très jolie dans la bouche d'une jeune femme. Sortant de sa transe déprimante, Rommi regarda autour d'elle, sa curiosité maladive reprenant le dessus. Elle remarqua rapidement une jeune fille, a première vu une ados, littéralement encerclé par une bande de mecs sans éducations à priori. Naturellement, personne de réagit. Le médecin détestait cette mentalité et n'hésita pas une seconde, se mêlant encore et toujours de se qui ne la regardait pas. Ainsi donc elle se fraya un chemin et se faufila entre deux brutes et les bras croisés sur sa poitrine, elle se plaça entre la jeune femme et celui qui semblait être le chef de cette petite bande de malautrus, un large sourire aux lèvres et lança un joyeux :

« Salut les mecs ca va ? »
« Qu'est ce que tu veux pouffiasse? »
« Ma photo sur un billet de banque ! »

répondit Andromeda avec une pointe d'ironie et de provocation. Ne pas se laisser impressionner était le meilleur moyen de désarçonner ce genre de petits cons qui se dégonflaient comme un ballon baudruche dès qu'on les piquaient un peu. Et cela ne manqua pas ! Son interlocuteur montra les premiers signe de rédition. C'était à peine perceptible mais la jeune femme commençait à avoir l'habitude et savait les repérer. Ainsi donc elle ajouta pour la forme :

« C'est pas la Saint trou-du-cul aujourd'hui alors tu ferais mieux de rentrer chez toi avec tes potes avant que la police ne débarque. Cela ferait désordre n'est ce pas ? »

Sans un mot de plus, l'agresseur fit demi tour suivit pas sa petite bande. Andromeda se retourna vers la jeune fille avec un sourire bienveillant et lui dit en riant :

« Avec ce genre de petites frappes, il vaut mieux garder son calme et avoir de la répartie. Vous allez bien mademoiselle ? »
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Alex Matthews

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Alex Matthews


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Les hommes sont tous des rustres [ANDROMEDA] _

_______________________________________________ Lun 06 Mai 2013, 09:29

Au final, Alex ne prit jamais ce bout de papier pour dessiner un énorme monstre baveux et avec une soif de violence incontrôlable. Et pourtant, ce n’est pas faute que la demoiselle ne le désira réellement. Voir ceux qui venaient de ruiner sa mission mourir lui aurait fait extrêmement plaisir. Mais malheureusement pour elle et heureusement pour les jeunes hommes, une jeune femme vint s’immiscer dans la dispute. Ce n’était pas courant, à New York. Peut être que c’était le genre de personne féministe qui se bat pour les droits de la femme ? En tout cas, ce qui était sûr, c’est qu’elle avait décidé de ne pas se montrer tendre avec le troupeau d’idiots. Elle parlait de la même manière qu’eux, sans doute pour leur couper l’herbe sous le pied, et son assurance ainsi que sa répartie éblouirent Matthews. Wow ! Ca, c’était de la femme ! Courageuse, la tête sur les épaules, et généreuse aussi, puisqu’elle venait de la « sauver ». M’enfin, Alex aurait bien réussi toute seule. Mais elle aurait créé une onde de panique et aurait eu à nouveau du sang sur les mains. Ce qui ne l’aurait pas dérangé, au contraire. Tuer était devenu un passe-temps pour Miss Matthews. Et c’était toujours avec un plaisir non dissimulé qu’elle le faisait. Mais elle se rendait compte qu’utiliser ses pouvoirs ici n’aurait peut être pas été la meilleure manière de se faire toute petite. Au fond, elle remerciait intérieurement sa sauveuse, car sinon elle aurait du tuer toutes les personnes présentes dans le centre-commercial ce jour là. Et en apercevant un petit garçon qui courait derrière sa mère, la jeune fille savait qu’elle aurait laissé des témoins parce qu’ils étaient trop jeunes ou trop touchants. C’était là le problème de la Confrériste. Elle avait un cœur, et n’avait jamais réussi à le mettre en off. Les malfrats finirent par laisser tomber. Il faut dire que les répliques de la jeune femme étaient piquantes et difficiles à rembarrer. Maintenant apaisée, Alex vit ses pointes de cheveux redevenir blondes. L’autre se tourna vers elle l’instant d’après. Ouf, une chance, ou sinon c’est elle qu’elle aurait du tuer. Et elle ne voulait pas faire de mal à celle qui venait de l’aider. C’était un principe de base. Tu me sauves la vie, j’épargne la tienne de façon à te sauver également. Un doux sourire se glissa sur les lèvres de l’inconnue, qui éclata de rire. Alex aussi aurait bien ri, si elle avait pu lancer une de ses chimères contre ces imbéciles.

Oui, l’inconnue avait raison. Rester zen, et savoir répliquer. C’était là une solution. Mais la meilleure restait l’attaque, aux yeux de Matthews. Tuer ces types ne l’aurait pas dérangé. Ca lui aurait même fait très plaisir. Bande d’abrutis. S’ils se retrouvaient sur son chemin par la suite, elle n’hésiterait pas. Elle avait retenu de mental chacun de leurs visages. Il suffirait qu’elle se transforme en quelqu’un d’autre pour n’en faire qu’une bouchée. C’est cette pensée qui la fit sourire, et elle décida de se montrer aimable avec celle qui venait de l’empêcher, d’une certaine manière, d’utiliser ses pouvoirs.

C’est dingue comme ils se croient importants. C’est eux qui me bousculent et c’est moi la source du problème. J’imagine à peine ce qu’il se passerait s’ils devenaient juges.

Bien qu’à son avis ils soient trop bêtes pour le devenir. Elle mit ses mains sur ses hanches, observant l’inconnue avec une lueur de respect dans le regard. Cette femme n’avait pas eu froid aux yeux. S’en prendre à toute une bande, c’était culotté. Et ses réparties auraient bien pu l’envoyer à l’hôpital. Alors oui, Alex était admirative, et elle le fit remarquer.

En tout cas, c’est rare de voir quelqu’un s’incruster dans ce genre de problèmes. Merci. Vous ne manquez pas de courage.

Il n’aurait plus manqué qu’elle lui dise « Je suis une Confrériste » et là, Matthews l’aurait à coup sûr adorée. Mais le taux de probabilité pour qu’une coïncidence aussi incroyable puisse se produire était très faible. A vrai dire, même pas un pourcent.
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