Surnom → aucun, pour le moment.
Age → 32 ans, né le 4 janvier 1981.
Occupation / Emploi → J'ai suivi de nombreuses formations mais ma personnalité étrange et très prononcée ne m'a pas permis jusqu'à présent d'avoir un emploi stable.
1999 : bac littéraire avec mention bien.
1999 - 2000 : remise à niveau en arts appliqués
2000 - 2003 : école d'art
2003 - 2008 : école de costumier et master en mécanique (double cursus)
2008 - 2010 : cycle 1 de théâtre, admis mention très bien avec félicitation
2010 - 2012 : cycle 2 de théâtre, admis mention très bien
Je n'ai pas pu faire le cycle 3 de théâtre pour cause de vadrouille dans les égoûts de New-York et autres lieux. Depuis mon arrivée à l'Institut Xavier pour jeunes surdoués, je cherche à intégrer une école pour terminer ma formation de théâtre.
J'occupe depuis deux semaines le poste d'aide-bibliothécaire.

Groupe → « X-Men », étant pour le moment inapte à être sur le terrain à cause de ma personnalité, je suis pour le moment un résident et un étudiant.

Caractère → « La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s'attendre à un résultat différent. » d'Albert Einstein

Sacré monsieur Einstein, vous avez du en voir du pays : le vent est le meilleur ami des cendres pour celui qui aime découvrir. Si j’avais eu le courage de voyager, j’aurais pu voir de mes propres yeux si les hommes sont tous les mêmes. Ont-ils toujours aussi peur de la différence ?

Je n’ose imaginer ce que serait demain si je me comportais comme hier et aujourd’hui. La vie nous offre des occasions uniques, pourquoi les gâcher en réagissant toujours de la même façon ? En observant ces ennuyeux petits moutons depuis les toits, je ne peux que prier pour le repos de leur âme. Ont-ils vraiment des yeux ? A les voir répéter toujours un rôle devant absolument entré dans les normes que la société a créé pour eux, ne sont-ils pas lasser de passer à côté d’évènements pouvant être formidables, voire admirables ?

Dites, monsieur Einstein, peut-on encore accorder notre confiance à ces troupeaux ?

J’aime à penser que je ne suis ni étrange ni bizarre, que ce sont ces autres qui se sont enfermés dans une normalité. Mais, je ne suis pas dupe : jamais ils n’accepteront d’avoir tort, et je ne céderais pas devant leurs vaines paroles. Parfois, elles bourdonnent à mes oreilles, me laissent de marbre physiquement mais me retournent les tripes : elles sont le venin du serpent, cherchant à mettre hors d’état de nuire ce qui ne peut être dompté.

Je ne peux blâmer mes parents d’avoir voulu me porter secours durant toute mon enfance, mais ils n’ont vu et accepté que trop tard que cette aide apportait par un grand nombre de spécialistes avait fait plus de mal que de bien. Suis-je devenu un danger ou dois-je tirer de mes différences une force nouvelle pour avancer vers un avenir que moi-seul pourrait rendre meilleur ?

Aujourd’hui, je suis rongé de l’intérieur par des symptômes ayant pris de trop grandes proportions pour que ma famille puisse les assumer. De par ma nature d’insociable, je ne dois mon intégration à l’Institut Xavier pour jeunes surdoués qu’à l’intervention de mon petit frère : je ne veux plus voir ces larmes couler sur son visage et s’écraser pitoyablement sur le sol.

Trois syndromes régissent ma vie : le délire de persécution, la cleptomanie et la misogynie. Ils sont étroitement liés par ma perception du monde : avec les années, je me suis enfermé dans une bulle où mon esprit s’est mis en pause sur certains paliers émotionnels, ne permettant pas à mon âme d’aller de l’avant, la laissant ainsi à un stade où les sentiments et les rêves de mon enfance règnent en maître.

Ma misogynie s’est fortement développée lorsque ma mère est tombée enceinte de mon frère. Bien que j’aie peu à peu accepter l’arrivée de ce nouvel enfant au sein de la famille, j’ai vécu cette naissance comme un abandon. Je n’arrivais pas à me faire à l’idée que je devais partager l’amour maternel avec un autre. M’étant toujours bien entendu avec ma mère jusqu’à cet évènement, mes parents avaient cru bon de me faire rencontrer uniquement des femmes psychologues ou médecins : je haïssais d’autant plus ces demoiselles que leur lamentable travail n’avait rien changé à mon état psychologique, m’enfonçant même dans des profondeurs sans fond.

Ce premier syndrome est étroitement lié à un délire de persécution très poussé. Ce symptôme se caractérise par l’attribution à quelqu’un d’autre d’intentions malveillantes voir mal intentionnées et hostiles. Il est surtout porté sur les femmes, mais aussi sur tout individu qui n’a pas été intégré comme personnage bienveillant au sein de mon monde imaginaire.

Pour terminer, je suis atteint de la cleptomanie qui est une maladie mentale qui se caractérise par une obsession à voler des objets. Ce délire se caractérise par une préoccupation unique : récupérer des objets ayant une importante ou une faible valeur. Il faut tout de même l’admettre que ceux que je récupère ont très peu de valeurs, voir aucune (comme des pièces, des couverts, des pancartes, des sonnettes de vélo, des sachets de mayonnaise, des tasses à café,…) : je les entrepose dans des grands coffres dans ma chambre. Je me rends souvent compte du vol seulement après l’avoir commis et être passé totalement à autre chose. Les médecins n’ont pu que constater que les individus atteints de cette maladie n’ont pas nécessairement besoin de ce qu’ils volent. Pour ma part, cette thèse n’est valable que pour plus de la moitié des objets entreposés dans mon antre. Les autres sont dérobés inconsciemment car, pour une raison ou une autre, je désirais ces objets pour bricoler des inventions plus délirantes les unes que les autres : je ne cache pas le fait que ces créations ne servent généralement strictement à rien. Les seuls artifices ayant une utilité, pour l’instant, sont les costumes qui remplissent mes placards muraux.

Comme vous venez sans doute de le comprendre en lisant les paragraphes précédents, je vis continuellement dans une bulle. Mon pouvoir de métamorphe ne m’aidant pas à sortir de cet engrenage, mon frère m’a convint, après plusieurs mois de cavale, à intégrer l’Institut Xavier pour jeunes surdoués, avançant comme argument que, où que j’aille, je trouverais des bons comme des mauvais et que, pour une fois dans ma vie, on m’offrait l’opportunité de grandir sans avoir à subir les jugements d’autrui. J’ai mis longtemps à accepter l’idée qu’il existait encore des lieux accueillants de tels personnages.

Bien que mes syndromes ne me permettent pas d’être facilement accessible, je suis tel le renard dans Le Petit prince : si nous apprenons à nous connaître un peu plus chaque jour, vous pourrez ainsi « m’apprivoiser » et avoir l’heureuse surprise de découvrir un jeune homme jovial, ayant la joie de vivre, aimant manger et découvrir le monde, se déguiser (pratique pour les missions d’infiltration que je me donne à moi-même !).

Vivant à la limité de la société, je passe beaucoup de temps seul. N’étant à l’Institut Xavier pour jeunes surdoués que depuis quelques semaines, je ne connais pas encore grand monde. Je ne peux nier que je me suis réfugié dans un empire imaginaire où je me suis défini un rôle de postier (celui qui transmet les messages entre les différentes bases alliées).

Bien qu’au départ la peur qu’Evan prenne la place dans le cœur de mes parents, j’avais ensuite admis que j’avais eu tort, mais le mal était déjà fait. Ma famille ayant tout fait pour m’aider, je devins tout de même vite incontrôlable, disparaissant parfois pendant plusieurs semaines, rentrant souvent couvert de boue et de blessures (suite aux histoires que j’avais moi-même inventé ou aux différentes explorations dans les égouts pour tenter de retrouver les tortues ninjas).

Comme dit plus haut, mon petit frère, Evan, m’a convint de rejoindre l’Institut Xavier pour jeunes surdoués : ayant pris le temps de discuter et de montrer du doigt les problèmes qui faisaient vraiment mal, il a rapidement conclu que, bien qu’intelligent, mon cerveau avait arrêté d’assimiler certaines données qui me permettraient pourtant de grandir psychologiquement. Bien que sur beaucoup de plans je sois assez mature pour m’en sortir seul, d’autres étaient beaucoup trop fragiles émotionnellement, laissant même à penser qu’ils avaient stoppé leur croissance durant mon adolescence.

Depuis quelques semaines déjà, j’arpente les couloirs de l’Institut Xavier pour jeunes surdoués, heureux d’avoir découvert une nouvelle base secrète des alliés. Je passe beaucoup de temps, caché dans les moindres recoins de la grande propriété, observant les faits et gestes de mes nouveaux compagnons, les dessinant sous différents angles (les portraits allaient bon train), essayant de repérer tant bien que mal les êtres magiques cachés parmi nous. Dans une de mes lettres à mon frère Evan, je lui fais part de mes découvertes concernant un lutin du Père Noël (sous-entendu Kurt Wagner) et du grand commandant des peluches, frère du maléfique Grinch (sous-entendu Henry « Hank » McCoy). Dans une autre, j'avance que j'aurais trouvé la fée Viviane (sous-entendu Anna Marie). Il faut néanmoins noté que je ne leur ais jamais adressé la parole, me contentant pour le moment de les observer et de percer leurs incroyables secrets !

Ainsi donc, mes idées n’ont aucune limite, sauf celles imposées par mon imagination. J’aime rêver d’un monde meilleur où les différences seraient une force.

Une Particularité ? → J’ai plusieurs tatouages dont un impressionnant dans le dos qui représente un samouraï et un sage indien. Je porte des lunettes et un vieux chapeau qui est dans ma famille depuis très longtemps et qui se transmet de génération en génération depuis mon arrière-arrière-grand-père.

Je possède aussi plusieurs coffres en bois contenant tout ce que ma cleptomanie m'a permis de récupérer jusqu'à présent. J'ai aussi une incroyable collection de costumes de théâtre, souvent des modèles uniques fabriqués par mes soins, et servant pour mes excursions d'infiltration (imaginaires, bien entendu !). Je me ballade toujours avec mon ipod car, pour faire comme dans les films, il faut bien de la musique !

Vos origines & votre famille →

Ma famille est originaire de France.

Aaron Grimgorson, père de famille et grand médecin, est l’un des dirigeants d’une entreprise pharmaceutique mondiale. Durant longtemps, il a été un adepte des jeux d’argent et, à ma naissance, il était en cure pour arrêter. Après avoir plusieurs fois replongé, il a finalement pris sa vie en main lorsque mon cadet vint au monde.

Elie Grimgorson est une charmante femme qui travaille dans les œuvres humanitaires. Elle voyage énormément, bien souvent dans des pays où la guerre civile ou autres sévissent. Elle était chargée des mutants fuyant la mort et le sang. A la naissance de mon petit frère, mon pouvoir de métamorphose, jusque-là endormi, fit son apparition. C’est à cette même époque que mes syndromes prirent une dimension démesurée. Elie choisit de mettre de côté son métier qu’elle chérissait tant pour accorder plus de temps à sa progéniture.

Evan Grimgorson, de treize ans mon cadet, est, de nous deux, celui qui a les deux pieds dans la réalité. Bien que les quelques années après sa naissance, je pus cacher mon pouvoir et mes troubles psychiques, arriva néanmoins le moment où la réalité rattrapa la petite bulle dans laquelle je m’étais enfermé, et il était alors trop tard pour enrayer le processus dans lequel je m’étais engagé. Surprotecteur envers mon petit frère, ce dernier m’adulait, toujours heureux que l’attention de son ainé soit uniquement porté sur sa personne. En grandissant, nos liens se resserrèrent encore plus, et lorsqu’il fut en mesure de comprendre ce qui me touchait, se fut à son tour de prendre soin de moi.

Votre Histoire → Ecrire ici (Votre Histoire en 20 lignes environ).

Pouvoir(s) → Mon pouvoir de métamorphe se décompose en dix niveaux :


--> Niveau 1 :
Atteint à l’âge de treize ans.
Je me transforme aléatoirement en des personnages basiques, le plus souvent de sexe masculin, habillés simplement (n’apparaissent, la plupart du temps, que les sous-vêtements). Je ne contrôle pas ces métamorphoses et elles arrivent, le plus souvent, lors d’émotions intenses, qu’elles soient positives ou négatives.
Je dois avoir, au préalable, étudier les personnages plusieurs heures avant de pouvoir utiliser leur physique. Les personnages sont réels, c’est-à-dire qu’ils ont une existence propre dans le monde (ils ne sortent ni d’un film, ni d’une série, ni de quoi que ce soit d’autre).


--> Niveau 2 :
Atteint à l’âge de quinze ans.
Je me transforme aléatoirement en des personnages en des personnages basiques, tout sexe confondu, habillés entièrement. Bien que beaucoup de métamorphoses restent incontrôlées, je peux faire appel à mon don après une concentration intense (au minimum, trente minutes).
Je dois avoir, au préalable, étudier les personnages plusieurs heures avant de pouvoir utiliser leur physique. Les personnages sont réels, c’est-à-dire qu’ils ont une existence propre dans le monde (ils ne sortent ni d’un film, ni d’une série, ni de quoi que ce soit d’autre).


--> Niveau 3 :
Atteint à l’âge de dix-huit ans.
Ne diffère pas du niveau 2 hormis les points suivants.
Notons tout de même que mon don ne se manifeste plus que lorsque je lui demande d’intervenir. Les données sur l’étude des personnages et sur la durée d’« incantation » de son pouvoir ne changent pas hormis le temps d’étude qui passe de plusieurs heures à cinq heures.


--> Niveau 4 :
Atteint à l’âge de vingt-deux ans.
Les personnages sont beaucoup plus complexes, surtout au niveau des vêtements.
Lorsque j’ai atteint ce niveau de maîtrise, j’ai alors débuté une formation de costumier. A l’heure actuelle, je pourrais être chef costumier et habiller une troupe d’une cinquantaine d’acteurs sans peine.
La durée de concentration pour faire appel à mon don passe de trente minutes à quinze minutes.
Les données sur l’étude des personnages restent inchangées hormis le temps d’étude qui passe de cinq heures à deux heures et demi.


--> Niveau 5 :
Atteint à l’âge de vingt-sept ans.
Je peux habiller mes métamorphoses de n’importe quel vêtement, du moment que je l’ai vu une fois et étudier pendant quelques minutes.
J’ai atteint ce niveau de maitrise à la fin de ma formation de costumier.
La durée de concentration pour faire appel à mon don passe de quinze minutes à quasi-instantanée.
Je peux maintenant prendre l’apparence de personnages dit « réels » que j’ai étudiés dans les films. Je ne peux, pour le moment, en aucun cas prendre l’apparence de personnages dit « non-réels » de séries, films ou autres. Par exemple, les Tortues Ninjas du film sont des personnages dit « réels » ; les Tortues Ninjas de la série d’animation sont des personnages dit « non-réels ».
L’étude des personnages dit « réels » est, d’au minimum, quatre heures.
L’étude des personnages réels passent de deux heures et demie à moins d’une demi-heure.


--> Niveau 6 :
En cours d'acquisition.
Ne diffère pas du niveau 5 hormis les points suivants.
L'étude des personnages dit « réels » passe de quatre heures à trois heures.
Mon pouvoir me permet de développer la copie des personnages dit « non-réels ». A ce niveau, le processus est très long.
L'un des premiers travaux est le dessin car il faut que je m'approprie le personnage en question. Très rares sont ceux déjà programmés en 3D. En effet, grâce aux croquis et aux portraits très poussés que je réalise, j'arrive à passer l'image de mon personnage dit « non-réel » en personnage dit « réel ». Il est très important que j'ai un visuel d'un personnage qui se rapproche le plus possible de la réalité. Cette étape de la reconstitution d'un personnage dure entre cinq et sept semaines.
L'autre recherche à faire en parallèle est celle de la personnalité du personnage que je veux copier. Aussi étrange que cela puisse paraître, je n'arrive à copier un personnage dit « non-réel » seulement si mon état d'esprit se rapproche au plus près du sien. Cette étape dure entre six et dix semaines.
Une fois ce travail achevé, l'étude complète du personnage avec toutes les notes acquises durant son appropriation dure deux à trois semaines.
Il faut que je me concentre une quarantaine de minutes pour pouvoir me métamorphoser en personnage « non-réel » étudié.


--> Niveau 7 à 10 :
Non débloqués.
Ces quatre niveaux sont le développement des niveaux précédents, mais surtout du niveau 6. Des fiches d'informations seront envoyées aux administrateurs lorsque le pouvoir de mon personnage évoluera pour validation.

Le Vaccin → Ecrire ici (Décrivez en quelques lignes votre point de vue sur le vaccin. En tant qu'humain, mutant, simple observateur ou participant).

© CREDIT

Administration → Célébrité de votre Avatar : Johnny Depp. → Est-ce un poste vacant ? : Non. → Multicompte ? : Non. Entre nous → Pseudo / Prénom : Alouarn / Al' ou Stanislas / Stan' → Votre avis sur le forum : Sympathique ! ^^ → Comment l’avez vous découvert : via Tristan. → Le mot de la fin : Les icônes me font beaucoup rire !

Bienvenue à toi