Mon caractère ? Est-ce vraiment utile de le décrire ici ? Je veux dire, on à vraiment besoin de décrire un chat si on le voit tous les jours ?
Très bien, d’accord, je vais le faire !
Par contre, ça risque d’être un peu long. Quoi ? Si je ne le décris pas correctement, on va encore me traiter de coincée, de peau de vache (c’est vrai, personne ne l’a jamais dit, mais je plein celui qui osera), de cinglée… En faite, j’en sais foutrement rien. On ne me dit pas grand-chose, pas en face en tous cas. Dans ce cas la, c’est difficile de savoir ce que les gens pensent de soi, non ? Mais en prévision, je préfère être précise et bien expliquez le pourquoi du comment. Vous savez, avec les gens hein…

Je suis plutôt décrite comme quelqu’un de provocateur, au caractère particulièrement enflammé capable de passer de la bonne humeur à la mauvaise, en moins de temps qu’il n’en faut pour dire aïe et vis versa. On dit aussi que je suis violente et peu enclin à accepter un grand nombre de choses comme : les ordres (surtout s’ils ne me conviennent pas), qu’on me marche sur les pieds, qu’on me prenne pour une idiote, qu’on me menace (moi ou mes proches, c’est pareil) etc.
Avec ça, il ressort souvent que je suis quelqu’un de très mystérieuse, secrète en ce concerne ma personne. On dit aussi que j’ai d’ailleurs plutôt pas mal de problème en ce qui concerne la vie en société et les interactions sociales avec autrui. Ce que je veux dire ?
Ah oui ! Il parait, que je suis quasiment nul lorsqu’il faut parler sentiment (c’est vrai, mais quand on veux pas faire avec… on fait sans) et me comporter normalement en société… ne pas frapper les gens, ne pas provoquer les cons, ne pas traiter un con de con etc. Mais il parait aussi, que je suis capable de me montrer très sympathique, drôle, souriante et à l’occasion, amicale. Cependant, il ne faut apparemment pas m’en demandé trop parce que la, c’est impossible d’après certains. Un beau sourire et un ton amusé, son apparemment les seules choses, que je suis réellement capable d’offrir à ceux qui m’entourent (mais pas tous, seul ceux que je trouve pas cons ou qui ne m’énerve pas…). En gros, je serais incapable de faire confiance et le cas échéant ou une personne arrive à se rapprocher assez de moi pour avoir accès à ce que qu’ils appellent (mon cœur de glace), elle à droit à une personne un peu plus agréable, mais qui refuse toujours de donner entièrement sa confiance et qui, si c’est un homme (quoi que les filles aussi, hein ? mais moins.), refuse et repousse toute approche susceptible de la rendre plus humaine, fragile d’après d’autres.

Certains, ont même une théorie intéressante sur le pourquoi du comment. Il paraîtrait, qu’un jour, mes parents m’auraient perdu dans la forêt quand j’étais encore jeune et que j’aurais été élevée par des loups (qu’est-ce qu’il faut pas entendre…) ce qui expliquerait mon côté sauvage et agressif. Mais que pendant longtemps, j’ai du me débrouiller seule, livrée à moi-même, ne pouvant me fier à qui que ce soit. D’ailleurs, d’après eux, ça expliquerait mon incapacité à accepter l’aide des autres, à les considérer comme des personnes ayant de bonnes intentions à mon égard et non comme de potentiels ennemis capable de me faire beaucoup de mal, à m’ouvrir véritablement aux autres, à leur faire confiance et blablabla…

L’HERITAGE DES OMBRES

Pourquoi l’héritage des ombres ? Et d’abord, qu’est ce que c’est qu’une ombre ? Enfin autre que le terme littéral voulant dire « Zone d'obscurité formée par l'interception de la lumière par un corps. » chez nous une ombre est un excellent assassin. Non, en réalité ce sont les meilleurs des meilleurs, mais avant de m’étaler sur le devoir que se fait nôtre famille de tuer des gens, je vais revenir au tout début.

A leur mort, nos parents nous lèguent souvent quelque chose. Ca peut être des bibelots, un peu d’argent, ou une entreprise… Parfois a la suite de se lègue, l’enfant décide de marcher sur les traces de son père et reprend l’entreprise familiale. L’enfant n’a pas vraiment eu son mot a dire dans son enfance tant le père voulait a tout prix qu’il travaille ensemble a rendre l’entreprise prospère… Williams & fils. Le rêve de tout père, d’avoir côte a côte son nom et celui de son fils, ou presque.
Tout ça pour dire son avenir était tout tracé c’est peu comme le mien. On ne m’a pas légué une entreprise mais un métier, un titre, une manière de vivre aussi.

Nôtre famille est depuis des générations dans le métier de tueur a gage. Le premier étant Joseph Brown. Pour que son fils puisse vivre une vie normal, Joseph  prit la douloureuse mais néanmoins nécessaire décision, de le laisser lui et sa femme pour vivre sa vie de hors-la-loi. Bien que l’intention fut louable, et que la famille Brown vécu hors de tout risque, le jeune Brown devint de lui-même tueur à gage bien des années après.
A la naissance de son premier enfant, une fille, Grégoire le fils de Joseph décida de tester les aptitudes naturelles de sa fille. Réflexes, discrétion, observation, aptitude aux combats… Il s’avéra que Gaëlle était plutôt douée pour son âge et bien que l’idée principale ne fut pas que l’enfant devienne un tueur à son tour, il lui apprit tout ce qu'il savait. Mailheureusement, même si la jeune femme n'eu pas une vie si dur, elle devint une tueuse  bien des années plus tard. Elle fût à elle seule, responsable de la mort d’une bonne quinzaine de personnes d’on, celle de l’homme qui avait froidement abattu son père.
C’est après la naissance de ses jumeaux, que la tache des ombres fût remarquée.
Celle-ci, était décrite par la jeune femme comme une tache d’ombre dans la lumière. Décrivant admirablement le dilemme que vivait chacun des descendants de la famille Brown. Le bien contre le mal. Ce besoin d’aider les autres, tout en ayant ce désire de violence, ces excès de colère et cette capacité à tuer quiconque oserait s’approcher de top prêt, ou ce mettre en travers de son chemin.

C’est après cela que naquit la légende des ombres.
Dans les journaux, un acte incroyable. Le meurtre d’un groupe fortement armé, une trentaine de personne environ sans l’utilisation d’arme quelconque. Les hommes se sont entre tués et s’il n’y avait pas eu, un ou deux témoins de la scène et quelques images, le secret serait resté dans l’ombre. Néanmoins, même les témoignages les plus sincère ne suffisent pas à convaincre un homme, surtout les autorités. Seul le camp adverse y cru. Il en tira d’ailleurs son épingle du jeu.
Car voyez-vous, les ombres tuent oui, mais pas toujours pour faire le bien. Parfois l’ombre est si grande et si profonde, que la lumière n’arrive pas à l’évacuer, la restreindre.
Nous avons tous un côté obscure, mais celui d’un ombre et plus présent encore…

Mais revenons donc à l’histoire, voulez-vous ? Chaque ombre apprit le métier à son descendant, rajoutant son expérience et ses connaissances à l’apprentissage de cette éducation, que certain auront décrit comme de l’art.
A cause de l’orientation relativement différente d’un ombre à un autre, il n’est pas impossible que deux ombres se soit affrontés. Malgré le lien familiale, un tueur reste un tueur, le plus fort gagne toujours qu’il soit bon ou pas…

Ce fût ma grand-mère, qui apprit le métier à ma mère ainsi qu’à ma tante. Ma mère commença elle aussi mon apprentissage, chose qu’elle n’eu pas le temps de finir. J’ai toujours connu mes origines, je sais qui je suis et d’où je viens. Je suis une tueuse en sommeil. Maintenant, reste plus qu’à savoir si je serais une tueuse pour le bien d’autrui, ou pour mon propre confort.


Résumé : Comme je l’ai déjà dis, je suis née en Transylvanie, la terre natale de mon père. Cependant, comme partout ailleurs, les mutants me sont pas vraiment apprécié. Il faut dire, qu’un mutant qui fait régner la terreur, n’est pas vraiment aimé, n’est ce pas ? Mais pour nous, c’est un peu différent. Nous ne sommes pas adulé, mais disons plutôt tolérer. Il existe dans nôtre famille, ce que l’on appelle un Héro. Celui-ci a fait don de sa vie, pour protéger les transylvaniens de la tyrannie d’un cinglé complètement allumé.
De ce fait, les gens avaient peur de nous, mais comme nous ne semblions pas être menaçant envers eux, ils ont ce que l’on peut appeler « tolérer » nôtre présence.
Cependant, même une famille riche et utile, ne fais pas oublier la peur qu’un jour, un mutant puisse s’en prendre de nouveau à eux. Finalement, nous les Valérius vivons toujours autre part que chez nous.
J’ai vu le jour en Transylvanie, mais j’ai vécu la plus grosse partie de ma vie ailleur. D’ailleurs, maintenant que j’y pense, je ne sais pas grand-chose de là bas. Peut-être que chez moi, c’est ici finalement.

Pour commencer, j’ai passé mes premières années au Canada. Ou pour être plus précise, à Vancouver. La bas, nous étions tranquille, mon frère, ne comprenait pas pourquoi il devait avoir une petite sœur, mes parents me chouchouter autant qu’ils le pouvaient… Autant dire, que dans une famille tel que celle-ci, il faisait bon vivre d’être un mutant.
Néanmoins, il y avait une question qui revenait à chaque fois. Mais quel est sont véritable pouvoir ? Du côté de ma mère, ce sont les éléments qui priment. Ma mère contrôlait la météo, sa sœur jumelle elle, contrôle le feu, et son autre sœur, elle, contrôle la glace.
Du côté de mon père, ce ne sont pas vraiment des pouvoirs élémentaires, mais ils sont tout aussi puissants, alors ils n’ont vraiment rien à envier à la famille de ma mère. Mon père est capable de manipuler la réalité à un certain degré, comme il peut lire dans les pensées. Ma grand-mère, est capable de crée des illusions très réaliste, ça l’a aidé à me calmer de faire apparaître des personnages imaginaires. Mon grand père, lui, paix à son âme, était humain. Mais savoir que sa femme était différente ne l’effrayer en rien. Alors c’est vrai, lorsque l’on dit que l’amour est plus fort que tout. Même si moi personnellement, je n’y crois pas, à l’amour…
Combien de fois, à t’il fait apparaître un biberon pour arrêter les cries affamé ? Je ne sais pas, mais il paraît que ça était souvent.


Donc, ma première demeure n’était pas le château de Transylvanie (bien que j’y ai vécu pendant quelques mois), mais une belle villa à Vancouver. En grandissant, je voyais mes parents faire des choses extraordinaires, et sans mentir, je les enviais un peu. C’est vrai, ils avaient un tel contrôle sur leur don, et ça paraissait si amusant, si grisant… C’était quelque chose auquel j’avais envie de goûter, moi aussi.

Vers l’age de 7 ans, nous avons déménagé pour nous installer en France. Là bas, nous n’y somme resté qu’une seule années. Je ne savais pas pourquoi nous avions quitté Vancouver si tôt. Nous n’avions pas de problèmes de finance, nous étions riche, et toutes ces demeures étaient à nous. Cependant, à de rare moment, je voyais une expression sur le visage de mes parents qui ne me plaisait pas du tout. De l’inquiétude pour être exacte. Il m’est arrivé un jour, de leur demander pourquoi. Ils ne m’on pas vraiment répondu. Ils m’ont dit que ce n’était pas grand-chose, et que le problème serait bientôt réglé, une autre façon polie de dire, tu es trop jeune, ne t’occupe pas des affaires des grands. Alors, je n’ai pas insisté, cependant, j’ai toujours observé leur comportement après.
Années après années, nous déménagions quasiment tous les ans, parfois plus tôt. A peine arrivé dans une nouvelle école, et nous voilà déjà repartie. Le rythme était tellement insoutenable, qu’ils on finalement choisie de nous faire l’éducation à la maison. Nous avions des professeurs particuliers, et du haut de mes 10 ans, j’étais déjà d’une grande intelligence. J’aimais lire, tout comme m’a mère, je les dévorais à une vitesse folle. J’aimais aussi dessiner, écrire, et m’informer. J’étais une bonne élève aussi. J’aurais pus être meilleurs, mais je n’aimais pas que l’on s’imagine que cela puisse être le cas, alors il m’arrivait de rater exprès quelque réponse par ci, par là. C’était stupide oui, mais montrer ce don j’étais capable… Ce n’était pas quelque chose qui m’enthousiasmer réellement.
Puis un jour, alors que j’étais dans la voiture avec mes parents en revenant de chez grand-mère, nous avons eu un accident. L’accident reste flou, mais je sais que ma mère, est morte sur le coup. Quand à mon père, il était condamné. Il à  alors choisie de me sauver la vie en m’effaçant la mémoire et en m’envoyant le plus loin possible de l’accident. Même maintenant que ma mémoire et revenu, je ne suis toujours pas sûr de ce qui c’est passé, mais en tous cas et je m’en souviendrais toujours, j’étais terrifiée.
D’ailleurs cette terreur, il m’arrive de la ressentir à nouveau lorsque je me réveille la nuit, en sursaut. A ce moment parfait, où l’on est entre deux eaux, la voix de mon père, résonne dans ma tête et me dit «  c’est pour ton bien princesse, c’est pour ton bien ».
Mais ça, c’est parce qu’il ne devait savoir ce qui aller se passer ensuite.

Mon enfer a commencé à partir de ce moment là. J’étais consciente de ce qui se passer, mais j’étais incapable de reprendre le contrôle de mon corps, jusqu'à une certaine distance, comme si j’étais une vulgaire marionnette. Dans la rue, lorsque je croisais des gens, personne ne faisait attention à moi. Pourtant, j’avais du sang sur mes habits, j’avais étais blessée durant l’accident, cependant, c’est comme si j’étais invisible.
Au fond de moi, j’avais envie de pleurer. D’ailleurs, c’est ce que j’ai fais, j’ai pleuré. En silence. C’est la première fois qu’une chose affreuse m’arrivait, et malheureusement, ce n’était pas la dernière.
Une fois à nouveau au contrôle de mon propre corps, je me suis effondrée dans une ruelle.
Perdue, seule, affolée, dénuée de tout pouvoir magique pour me défendre, j’avais peur. Bien sûr, j’avais quelque capacité au combat, car m’a mère m’avait formée pour que je sois capable de me défendre, au cas ou, mais qu’est ce que je ferais si ça m’arrivait vraiment un jour ? Serais-je à la hauteur ?
Je suis resté la, pendant des heures, avec l’espoir que tout ça, n’était qu’un affreux cauchemar. Cependant, le lendemain matin lorsque je me suis réveillée, rien n’avais changé. C’est à ce moment la que mon cauchemar est devenu réalité, le second pire moment de toute ma vie.

A la suite de ça, seule et sans la moindre manifestation de ma famille, j’ai vécu dans la rue. Favorisant les sorties nocturnes, je passais le plus clair de mon temps, seule, dans un squat lugubre (toujours différent), enfermée dans un silence pensant. Pendant cette période, il m’arrivait très souvent de pleurer. Pleurer pour mes parents, pour mon frères, pour le reste de ma famille… j’étais tellement seule, tellement triste…
Mais avec le temps, j’ai finis par me forger un caractère. Toujours silencieuse, j’avais pourtant fini par imaginer que je n’étais plus seule. Ainsi, habituée à cette vie, j’avais réussi à me débrouiller pour me dégoter de l’eau, et parfois de la nourriture. C’est vrai, ma vie n’était pas parfaite, mais c’était la mienne et malgré tout ça, j’imagine que je pensais avoir de la chance. Au moins, j’étais libre, même si cette liberté la, était plus qu’étouffante.

Peu de temps avants mes 13 ans (du moins j’imagine, le temps n’importe plus vraiment lorsque l’on vie dans la rue), j’ai brisé une de mes règles pour aider quelqu’un en danger de mort. J’étais plutôt grande pour mon âge, et allez savoir pourquoi, j’ai fini par être tellement en colère, que je passais beaucoup de temps à me fortifier physiquement pour être capable de me défendre au cas ou. Mon allure n’était pas glorieuse, j’étais sale, j’avais la crinière d’un lion, et j’étais maigre comme une tige, cependant, j’avais quand même des muscles par ci, par la qui commençait à se former.
Et heureusement pour moi, ce besoin de me renforcer m’a servit et m’a aussi, sauvé là vie.
En temps normal, j’ai pour principe de ne pas intervenir dans la vie des autres. Cependant, je ne sais pas si c’est son allure aussi pitoyable que la mienne, ou ses agresseurs qui le menacer d’un couteau, mais je n’ai pas pu résister une seconde de plus. Tel un animal en chasse, je me suis fondu dans l’obscurité et j’ai sauté sur eux.
Une fois le travail achevé, je me suis tirée sans demander mon reste. Après ça, je pensais que j’histoire s’arrêterait la, enfaîte non.
Le lendemain, je me retrouvais dans un sous sol pourri enfermé dans une cage pour chien. Le dealer à qui le jeune devait du fric, m’avait enlevé pendant que je dormais. Je n’ai pas la moindre idée de comment il m’a retrouvé, ni de comment il à fait pour me balader d’un lieu à un autre sans que je ne remarque rien. Cependant, après ce qui c’est passé ensuite, ça, c’était le cadet de mes soucis.
Dès le premier jour, après m’avoir regarder rugir de colère, et m’avoir examiné sous tout les coutures, lui (ou le maître comme il voulait être appelé), m’avait fait comprendre que j’allais payer ce que j’avais fais à ses hommes. Pour commencer, il m’a drogué. Ensuite, et jours après jours, il c’est employé à me détruire intérieurement. Pendant m’a période de détention, j’ai étais torturée mentalement, parfois physiquement, droguée, frappée, et sous le coup de la colère il était même capable de me violer.


C’est vers mes 16 ans, que mon handicap a commencé à se manifester. C’est sans doute aussi la raison pour laquelle, il n’a jamais vraiment pu me briser, et ce qui la rendu fou par la même occasion. Enlever à cet homme, la seule chose qu’il aime plus que tout au monde, et il deviendra obsédé par la personne qui lui refuse son plaisir. Je me souviens qu’il devenait fou. Parfois, ses phrases n’avaient aucun sens, il semblait comme possédé. Pour ma part, j’étais toujours droguée alors, tant que j’avais m’a dose, peu m’importer qu’il soit fou, possédé, tué ou quoi que ce soit d’autre.
Et un jour, j’ai étais sortie de là, par le jeune homme à qui j’avais sauvé la peau au départ. Comme j’avais constamment étais droguée, pour que je reste tranquille et obéissante, il m’a sevré (de force), nourrie, logé… Et ne m’a jamais forcé à quoi que ce soit d’autre de déplaisant. Je me souviens qu’il partait souvent pour ne pas que je me sente en danger. J’ai souvent pensé à partir, mais quelque chose me retenait toujours. Finalement, je suis restée. Bien après ça, il m’a avoué avoir longtemps hésité à venir me chercher, mais qu’il l’avait fait parce que jusqu'à présent, j’avais étais la seule à faire quelque chose pour lui. J’ai mis très longtemps à lui dire « merci ». Mais je crois que je n’avais pas besoin de le lui dire, nous étions comme qui dirait « quitte ».

Un soir, après nôtre petite sortie nocturne, Mickey et moi (c’était le surnom que je lui avais donné à cause de son haut à capuche pourri de Mickey mouse), nous étions endormi l’un contre l’autre, lorsque je me suis réveillée en sursaut. Ce n’étais pas la première fois que j’avais des terreurs nocturne, mais c’était la première fois qu’avec ça, je retrouvais tout les souvenirs de ma vie passé, ou presque.
L’accident, était toujours flou, cependant, je me souvenais du reste, de ma famille, de mes anciens « camarades », de mon ancienne vie….
Comme toujours, Mickey à voulut me rassurer mais je lui ai dis que ce n’étais pas la peine. Ce qui me tuer le plus dans tout cas, c’était l’idée de l’abandonner lui. Car oui, je devais le laisser seul. Mais étais-ce vraiment ce que je voulais au fond ?

Aujourd’hui : Retrouver ma famille a étais un échec, a cause d’un garçon, un immortel qui dit avoir très bien connu m’a mère. Il m’a montré des articles comme quoi les membres de ma famille on disparut le jour de la mort de mes parents, et que je suis la seule « survivante » parmis les miens. Bien sûr, ça, c’est après qu’il m’est embarqué plus ou moins de force ( oui, il m’a assommé), et m’avoir retenu prisonnière chez lui dans son duplex luxueux avec malheureusement une porte en fer. Les premiers temps on était dur. Moi qui voulais sans cesse m’enfuir, j’ai même faillit le tuer une fois, et lui qui était aussi silencieux qu’une tombe, pas besoin de décrire l’ambiance, mais j’ai fini par me calmer. Régle numéro 1 : mettre son ennemi dans la poche.
A présent, la règle ne s’applique plus vraiment car je me suis assez attaché à cet immortel constipé des sentiments (Kyle Alexander encore un riche), néanmoins, je reste encore sur mes gardes. On à beau se pourri la vie mutuellement (avec des retours de blague tout les jours), je n’oublie pas qu’il ne me dit pas tout.

Ce qui est sûr, c’est que quelque chose pèse sur ma famille. Le sors s’acharne sur nous. Lui, ou quelqu’un d’autre.