 Invité
Invité
![Le feu d'une Valeriùs [FE] _](https://2img.net/i/_.gif) |
 _______________________________________________ Sam 13 Avr 2013, 10:45 |
| Ce matin, je suis réveillée par le chewing gum collé sous ma chaussure, le croquemitaine des mômes, le leader des esprits remplie d’air en personne: Mercedes.
Cette jeune idiote, et la pire chose que le monde n’ait jamais eu l’idée de crée et si j’avais eu mon mot à dire, j’aurais choisie de la transformer en un truc utile, comme un dictionnaire par exemple. Dans ce cas, elle aurait pu mettre son savoir à nôtre porté et non pas son atroce accent à couper au couteau et son impressionnante stupidité qui atteint des sommets. Je suis toujours surprise par cela d’ailleurs. Je me demande toujours si sont inintelligence et sa stupidité ont une limite, je crois bien que non.
Kyle étant partie depuis longtemps, je me suis donc octroyé le droit de virer l’insecte indésirable avec ma joie de vivre habituel, mais voyez plutôt :
« Tiens ! Tiens ! Mais dite moi que je rêve… » (Elle me dévisage avec une mine de dégoût, tendit que je lui ouvre la porte.) « Encore toi ? »
– Oui, ravie de te décevoir. Bon ! Vu que manifestement Kyle n’est pas là, tu peux partir, je ne te retiens pas.
Je lui adresse mon plus beau sourire, en réponse au regard noir qu’elle me lance. Dès nôtre première rencontre, entre Mercedes et moi, ça n’a pas collé. Lorsque je la vois, j’ai toujours bien du mal à ne pas lui fermer le claper d’une claque en pleine figure. La main me démange à un point… Que j’ai l’impression d’avoir un énorme punching-ball en face de moi.
« Ce n’est pas grave, je vais l’attendre ici »
Dans tes rêves ma grande !
Je croise les bras, et me place devant elle, pour lui bloquer l’accès a l’appartement lorsqu’elle tente de forcer le passage pour y entrer.
« Dégage de mon chemin, avant que je t’écrase. »
Pourquoi tant de violence ? Bon, c’est vrai à nôtre première rencontre après sa petite proposition, je l’ai un peu malmené. Mais est-ce que j’avais le choix ? Très bien, c’est vrai j’avais le choix. Mais qu’est-ce que j’aurais manqué si je ne l’avais pas fait ! Car comme la majeur partie des riches civilisés de nôtre société, Mercedes trouve que les cours ne servent à rien. Donc, elle n’y va que quand elle n’a rien d’autre d’intéressent à faire. Et le prétexte qu’elle a trouvé pour se justifier est vraiment amusant, mais juger plutôt : « les cours c’est ennuyeux. Et de toute manière, je suis assez riche pour vivre une vie sans faire d’effort, alors, pourquoi je n’en profiterais pas ? »
La perche qu’elle me tendait ! Du coup, je n’ai pas pus résister à la tentation. J’ai murmuré à voix basse, qu’elle était juste trop stupide pour comprendre quoi que ce soit à n’importe quoi, et que la technologie permettant d’introduire des connaissances dans le cerveau humain ne pourraient rien pour elle, tant son cas est désespéré. Ca m’a valut un coup de coude dans les côtes de la part de Kyle, qui avait entendu la moquerie. Pour ma défense, mon comportement été justifié. Ca lui apprendra à me prendre pour une idiote, celle là.
– Pour une fois, nous sommes d’accord.
Je lui ferme la porte au nez. Elle n’a qu’à attendre dehors, ça lui fera prendre l’air. Moi, je ne suis pas payé pour supporter les « mono-neurone sur patte » de Kyle. Surtout qu’il ne veux pas qu’elle entre dans le loft quand il n’est pas la…
Enfin, après ce moment déplaisant (quoi que l’entendre fulminer de rage derrière la porte, avant que je ne la fasse virer par les costauds de la surveillance, était assez plaisant), je suis partie prendre un bon petit déjeuné dans la cuisine, améliorant dans un même temps mon humeur. Puis, je suis sortie faire un tour.
Mais une fois dehors, qu’est ce que j’allais faire ? Les magasins ? Mais bien sûr, comme si me balader pendant des heures dans une boutique serait supportable. Un bar alors ? Non, je suis déjà bien assez énervée comme ça, pas la peine d’en rajouter une couche. La librairie peut-être ? Où la bibliothèque sinon ? C’était de loin la meilleure idée que je venais d’avoir. La lecture, j’aime ça.
*** Les bars. Le premier qui dit que les bars sont super, je lui colle mon poing en pleine figure. Pour aller à la bibliothèque la plus proche, je passe toujours devant un bar, quelque soit le chemin que je prends.
En général, les choses se passent sans encombre. Enfin, « Jack » le gérant fait rentrer ses clients parce qu’il sait très bien à quoi s’attendre avec moi, sauf que celui là, il n’a pas réussi à le faire rentrer à temps.
L’homme est assez jeune, je dirais la trentaine. Il est musclé, brun au yeux bleu et sent plutôt bon. En temps normal, je pourrais ce que l’on appelle apprécier la vue, mais il se trouve qu’il est entre ce que je convoite « un livre » et moi.
Et manque de pot pour lui, aujourd’hui, je ne suis pas d’humeur à supporter les phrases de dragues idiotes d’un futur alcoolique en devenir…
« Salut toi, tu sais que tes… »
Et la, je frappe. Je ne sais pas si c’est parce qu’il me bloque le passage, ou à cause de sa tentative qui me gonfle au plus haut point, mais je frappe de toute mes forces « ou presque » entre ses jambes. Le coup de pied lui fait perdre la bouteille qu’il à dans la main, et il s’écroule lamentablement sur le sol le visage rouge, exprimant clairement la douleur qu’il ressent.
Voilà une énième victime de punch, en personne. Mais celui là, il l’a bien mérité.
« Mais vous êtes complètement folle ? » s’exclame Jack en se baissant au côté de son client.
– Probable, et vous ? Vous êtes con, ou c’est naturel chez vous, de laissez vos client parler comme ça à une fille ?
Et la, je coupe court à la discussion en reprenant la direction de la bibliothèque. Le plus amusant, c’est que Jack et moi, nous sommes assez proches. Je lui sers d’ailleurs très souvent d’alibi, pour virer des types qu’il ne peut pas virer lui-même.
Par contre, celui-la ne doit pas en faire partie, mais ça n’est pas grave. Il parait, que j’ai le don pour les faire revenir, même ceux qui s’en prenant une.
Aller comprendre ce qui ne va pas chez eux…
|
|
Accueil
