Surnom → Alex, Lexy.
Age → 19 ans.
Occupation / Emploi → Etudiante de médecine.

Groupe → « Mutant Neutre »

Caractère → En apparence, Lexy est une jeune femme pleine de vie, passionnée, qui est toujours partante pour tout. Mais elle a appris à être comme ça, et malgré le naturel apparent qu'elle dégage, tout est soigneusement calculé. Elle sait qu'elle ne doit pas attirer l'attention alors pour ça, elle a choisit d'étaler un bonheur qui n'est que factice. En réalité, elle est plus intelligente qu'elle ne veut bien le montrer et également plus réservée. Si beaucoup pensent être son ami, personne ne l'est réellement. Pour preuve, il n'y a que deux personnes au courant pour ses pouvoirs, et ses deux personnes ne veulent absolument pas en entendre parler. Elle a un humour cinglant bien à elle et maîtrise le sarcasme comme personne. Si elle se montre forte, la situation la blesse énormément et elle voudrait pouvoir se confier mais n'a confiance en qui que ce soit et à peur d'être rejetée et pointée du doigt.
Une Particularité ? → //

Vos origines & votre famille → Alexis n'a jamais connu son père et a appris à ne poser aucune question à ce sujet. Elle n'a jamais été très proche de sa mère, et ces dernières se sont encore plus éloignées après son mariage avec Osborn senior, beau-père qui la déteste de par sa nature et qui lui fait bien ressentir quand personne n'est autour d'eux. Le seul qu'on pourrait considérer comme proche de Lexy c'est Harry, mais depuis que le père du jeune homme fait vivre un enfer à sa demi-soeur, elle tente de lui cacher et lui joue une comédie presque parfaite, espérant que jamais il n'apprendra la vérité à son sujet.
Votre Histoire →
Je n'avais jamais pensé que j'étais quelqu'un de spécial, et je n'avais jamais cherché à l'être particulièrement. Mais quand on est une bête de foire, forcément on ne vous trouve plus rien de normal.

Pourtant, c'est pour le titre de princesse que je concourrais au départ. Ma naissance fut plus qu'attendu, seule héritière d'un couple pesant une véritable petite fortune. Et croyez moi, même enfant on ressent le poids des millions de dollars sur vos épaules. J'ai plus grandi aux côtés de nourrices et professeurs particuliers qu'à ceux de mes parents. Dans un sens, rien d'étonnant en sachant que mon père n'a jamais fait partie de ma vie. Et je ne connais pas grand chose de la sienne non plus. Lorsque j'aborde le sujet, ma mère s'énerve mais derrière sa colère, je ressens un voile de tristesse. Je sais juste que mes grands-parents ne l'aimaient pas. Granny et Papé sont de purs américains pas libéraux pour un sous. Ils ont fondé leur empire sur l'émergence du pétrole et, malgré les crises des années 70, on réussit à s'élever encore plus haut grâce à l'émergence du commerce internationale et plus particulièrement dans le secteur des transports aériens et maritimes. Malgré leur dureté apparente, j'ai été très peiné de leur disparition. Je n'avais alors que 12 ans mais j'avais déjà décerné l'ironie de la situation: après tout, mourir dans un crash d'avion en étant le propriétaire de la compagnie, s'était assez peu reluisant. Mais ainsi va la vie.
C'est ma mère qui prit donc seule la succession aux affaires. Pour autant, ce ne fut pas une mince affaire. Après l'accident, les investisseurs commencèrent à déserter, si bien que l'on fut obliger de vendre quelques uns de nos biens pour ne pas fermer boutique. Déjà que je la voyais peu, j'aurais pu oublier totalement à quoi elle ressemblait. C'est à ce moment-là je pense que je me surpris à rêver d'évasion.
Toujours surveillée par le petit personnel, il n'était pas facile de s'évader et d'oublier le monde auquel j'appartenais. J'étais révoltée de toute cette attention d'autrui alors que ma propre famille ne s'intéressait pas à moi. Et j'avais besoin de rencontrer la vie, la vrai, savoir ce qu'il se passait au-delà des haies de notre manoir. C'est ainsi que je me mis à faire le mur, littéralement. J'avais treize ans et j'étais persuadée que tout m'étais dû. Je me rends compte à quel point s'était stupide de ma part. En pleine nui, j'aimais me perdre dans les ruelles, marcher sans but et appeler un taxi pour qu'il me redépose gentiment à la maison. Mais une nuit, rien ne se passa comme d'habitude. On m'avait souvent reproché d'avoir la tête dans les nuages, je me suis rendue compte cette fois-là à quel point cela pouvait être dangereux. Sans que je ne le remarque, une bande de jeunes hommes avait commencé à me suivre, attendant le moment propice pour manifester leur présence. Et lorsque je m'engageais dans une rue totalement déserte, ils décidèrent de m'encercler et de m'arracher mon sac, m'empêchant tout mouvement, leurs bras venant ceinturer ma poitrine. J'étais terrifiée, et je ne compris pas tout à fait comment, brusquement, ils atterrirent tous à une dizaine de mètres de moi. Mais je ne demandais pas mon reste. J'attrapais mon sac et partais en courant, sifflant le premier taxi. Autant vous dire que je ne sortis plus la nuit.
Je ne sais pas pourquoi, mais je n'y ai plus repensé durant de long mois. Je pense que j'essayais d'intérioriser ça, ne plus y penser pour n'alerter personne. Mais les gens autour de moi sentirent un changement. Je n'étais plus aussi imprudente et impudente qu'auparavant. Il faut dire aussi que le remariage de ma mère n'avait rien arrangé. De plus en plus, elle tenait à m'emmener à des dîners, à rencontrer des gens. J'étais devenue sa petite poupée, on s'occupait de me rendre la plus belle possible et elle me traînait comme un trophée partout avec elle. Au fond, je savais que c'était un coup marketing, redorer l'image de la société, la jeune mère célibataire qui réussissait à allier travail et vie de famille. Mais je ne voulais pas y penser, je passais du temps avec elle, c'est tout ce que je voulais. Ce qu'il me plaisait moins, c'était la présence quasi-constante de cet homme. Je ne pourrais pas l'expliquer, mais je ressentais une retenue et une méfiance assez importante à son égard. Alors lorsqu'un beau jour, elle m'annonça leur mariage, je le reçus comme un coup en plein estomac. J'aurais voulu hurler à ma mère qu'il fallait fuir, ne pas lui faire confiance, mais j'aurais été incapable de lui en expliquer la raison. Alors je me suis tue, j'ai laissé faire, affichant un sourire aussi faux que douloureux.
Le seul avantage de cette union financière, c'était l'arrivée de mon demi-frère dans ma vie. Harry était bien plus âgé que moi, et il ne sembla pas troublé par notre arrivée dans sa vie. Ou alors, comme moi, il était un acteur remarquable. Parce que oui, j'étais passée experte dans l'art de la dissimulation de sentiments. Là où j'avais envie de me renfermer sur moi-même et d'hurler, j'étais exubérante et pleine d'entrain. Chacun à sa méthode de se protéger après tout, alors peut-être que lui aussi. Je quittais ma prison pour une autre où les règles étaient bien plus strictes. À mon grand dam, nous ne serions que trois, sans compter les domestiques, à habiter les lieux. Et malgré la grandeur du domicile, tout une partie m'étais complètement interdite. Ce qui ne faisait qu'accroître ma méfiance. Après tout, un beau-père qui n'avait rien à se reprocher n'empêcher pas sa nouvelle «fille» de circuler librement.
J'avais essayé le plus possible d'être la jeune femme parfait qu'on attendait que je sois. Je me rendais donc à tous les gala, dîners et autres festivités à laquelle on me demandait d'être. Ça n'était vraiment pas pour mon plaisir, mais ça faisait celui de mes parents. En plus, Harry était souvent obligé d'y être aussi, et il avait le don de me redonner le sourire. Toujours à chercher à me faire rire, à voir au-delà de l'image de poupée. Tout les sujets étaient abordables, et je pouvais être honnête avec lui. Enfin, ça c'était avant.
Une nuit, le chat qu'on m'avait accordé se perdit dans les «lieux interdits». Je n'eus d'autre choix que d'aller le chercher. Je me fis la plus discrète possible et pousser la lourde porte de l'aile est, gravis les escaliers, le cœur battant à tout rompre. Je m'étais fait beaucoup de films sur ce que mon beau-père essayait de me cacher, mais j'étais très loin de compte. C'était un laboratoire, un immense laboratoire avec des machines d'une complexité affolante et des bruits tout aussi perturbant. Oubliant ce que je faisais là, j'observais, essayant vainement de comprendre à quoi pouvait servir tout ces objets. Alors je ne sentis pas la présence derrière moi, et ne pus pousser le cri qui se bousculer à mes lèvres. Une main m'agrippant le bras, l'autre me recouvrant la bouche, Monsieur Osborn me toisait du regard, une expression de profonde colère déformant ses traits. Ni une ni deux, j'explosais. Je sentis une force s'échapper de mon corps pour venir se répercuter partout dans la pièce. Et puis je tombais.
C'est une conversation agitée qui me tira de mon sommeil. J'entendais ma mère suppliante, en larme, demandant le silence complet de mon beau-père à mon sujet. Lorsqu'elle entra dans ma chambre, je compris que quelque chose n'allait pas. Je me rappellerais toujours du visage de ma mère m'annonçant que j'étais malade, anormale, mais qu'il ne fallait pas que je m'inquiète, que tout le monde garderait le secret et qu'il fallait à tout prix que je réprime ceci au plus profond de mon être.
Et c'est ce que j'ai fait. J'ai grandis comme une autre, pauvre spectatrice de ce que je devenais, de ce que je cachais aux yeux des autres. C'est ainsi que j'entamais des études en médecine, désireuse de soigner les gens «malades», enfin les vrais, ceux pour qui ont pouvaient faire quelque chose. Et je n'ai jamais rien dit, pas à même à Harry. Même si je sais qu'il trouve que quelque chose à changé, il est assez malin pour ne rien dire. À croire que lui aussi a été élevé pour savoir quand être aveugle ou non. Grâce à mes «dons» ou «symptômes», je n'ai plus à participer aux événements mondains, mon beau-père n'est plus aussi enclin à me montrer à ses pairs et ma mère n'ose rien dire pour améliorer la dureté de son comportement à mon égard. La plupart du temps, je suis à la fac à réviser le plus possible, ou hors de la maison pour fuir le dégoût et la peur qu'ils éprouvent à mon égard. Moi qui n'aspirait qu'à la normalité, je suis devenue l'héritière indésirable numéro un.

Pouvoir(s) →
Champs de force: elle utilise son énergie pour créer un champ de force ou créer un bref bouclier.
Absorption d'énergie: Elle peut pour une courte durée aborber l'énergie des humains ou autres mutants qui ne peuvent utiliser leurs pouvoirs momentanément.
Elle ne maîtrise pas beaucoup ses pouvoirs et ils lui font plus de mal que de bien actuellement.
Le Vaccin → Alexis doit jouer les parfaites petites humaines, elle est au courant du vaccin mais n'a pas vraiment d'opinion dessus, elle préfère faire comme si rien n'était anormal chez elle.

© Alix

Administration → Célébrité de votre Avatar : Ashley Benson. → Est-ce un poste vacant ? : Yep. → Multicompte ? : Nope. Entre nous → Pseudo / Prénom : PopOw. → Votre avis sur le forum : Plutôt pas mal! → Comment l’avez vous découvert : Bouh → Le mot de la fin : "Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants."

Héhéhéhé ! MOUAHAHAHA !!! Miss OSBORRRRRRRRRRRRN !!! Welcome !

Ah ben voilà, t'as fait un heureux ^^

Bonne chance pour ta fiche

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche

Bienvenue bon courage pour ta fiche !

Welcome et bonne chance pour ta fifiche !

PopOw Ça me dit trop un truc

Enfin bienvenue parmi nous

Bonne chance pour ta fiche

Han Kristen Stewart en bloooonde !

ça me rappelle trop Celeb ça ! Enfin c'est hors sujet là !

Bienvenuuue Popow !!

Bienvenue. :)

Je sais que j'ai zapper de le faire Mais bienvenue!!

bienvenu et bonne chance pour ta fiche

Merci tout le monde!

Ah de retour toi.

Bienvenue :)

Bienvenue
Bonne chance pour ta fiche

Merci!
Je suis toujours opé pour le perso' hein! J'ai prévenu Seb que le boulot me prenait tout mon temps mais que j'avançais doucement mais sûrement!

Pas de soucis, ne t'inquiète pas !

Plus vite, plus vite ! Allez.

Ahhh c'est elle alors la copine de Franco? Jamais vue.

Avez vous déjà vu, la copine de James Franco?
Maintenant oui!

J'ai juste vue une torture d'oeuf. Je ne peux pas tout avoir vue.

Hum Oui bien sûr!

FINI! Bon c'est un peu court sur la fin mais le manque d'inspiration n'aidant pas, je préfère fignoler en rp plutôt que partir trop loin!

Bravo !!!
*applaudit avant de sortir*

C'est parfait, je te valide

Merci bien!